La pandémie de Coronavirus (COVID - 19 ou SRAS - CoV - 2) est partie de la région de Wuhan en Chine en septembre 2019. Au début de l'année 2020, elle a fini par sévir sur l'ensemble de la planète. Ce virus a paralysé l'économie mondiale en nécessitant la fermeture des entreprises et le confinement des populations dans leurs lieux de résidence.
Pour endiguer la propagation de la pandémie de Coronavirus à travers le monde, bien des grands groupes pharmaceutiques ont annoncé avoir mis au point un vaccin prometteur.
La grande apocalypse
Virus sans frontières (VSF)
L’Humanité à l’épreuve des agents infectieux
Entre Business lucratif et cultures virologiques, contagions inter-espèces et vaccinations obligatoires
‘‘Le virus est constitué par un parasite microscopique qu'on multiplie aisément par la culture, en dehors du corps des animaux que le mal peut frapper.’’ Louis Pasteur, Comptes rendus de l'Académie des Sciences, 95 (1880)
Par Joël Asher Lévy-Cohen *
Quoiqu’ils possèdent réellement un acide nucléique (ARN et ADN) et des protéines, les virus ne sont pas des êtres vivants au sens classique du terme. Ce sont, en fait, des nanoparticules qui pullulent dans la nature. Ceux-ci ont toujours existé. D’ailleurs, ils existent même avant l’irruption de l’espèce humaine dans l’ordre de la Création ou la Nature.
Force est de mentionner qu’il existe, à l’heure actuelle, plus ou moins cinq mille virus recensés ou connus par la microbiologie ou l’infectiologie. De ce nombre, seulement cent-vingt-neuf sont, selon la virologie, pathogènes ou infectieux. En d’autres termes, il n’y a que plus de 2,5 % des virus qui seraient, en réalité, nocifs ou dangereux. Au vu de ce faible pourcentage, y aurait-il, par conséquent, lieu de forcément s’alarmer face aux dégâts énormes que ces vecteurs contagieux occasionnent manifestement dans la nature tant animale qu’humaine[i] ?
Chose certaine, depuis la fin du IIe et le début du IIIe millénaire, l’humanité ambiante est, comme par enchantement, entrée de plein fouet dans une nouvelle ère : ‘‘Celle des virus violents et destructeurs’’. Cette espèce vivante dont la fragilité dans le domaine de la santé n’est vraiment plus à démontrer, est visiblement confrontée à divers types d’agents pathogènes. Ceux-ci ont, d’ailleurs, la saine réputation d’affecter directement toute son existence physique. Dans leur métabolisme somme toute particulier, ils sont dotés d’une mécanique interne implacable. Celle-ci paralyse voire même détruit la vie physique lorsqu’ils entrent pratiquement en contact avec un corps étranger, qu’il soit humain ou animal.
Toutefois, les virus qui affectent négativement et dramatiquement la santé humaine jusqu’au point de compromettre la vie, ont émergé, à notre époque contemporaine, à la seconde moitié du vingtième siècle[ii]. À ce propos, le virus le plus emblématique a été indéniablement le VIH / SIDA de sinistre mémoire. Ce pathogène mondialisé est réputé neutraliser le système immunitaire de l’être humain. Et, par conséquent, cet agent littéralement infectieux est réputé laisser un sujet carrément périr de maladies, tout à fait, opportunistes. Celui-ci se transmet très généralement par voie sanguine ou sexuelle.
Pendant que le VIH / SIDA fait rage dans le globe terrestre, il y a lieu de rappeler que d’autres virus explosent en raison du bouleversement de l’écosystème qui affecte la nature ou l’environnement. Ceux-ci sont normalement reliés à la pollution, d'ailleurs, consécutive à l’exploitation abusive des ressources naturelles et minières par l’être humain. Entre autres dans les zones forestières. Ils provoquent, en fait, des fièvres hémorragiques. Leur virulence est telle qu’ils déciment aisément des vies entières notamment dans les coins les plus reculés du pays[iii].
Dans cette catégorie, peut être classé le virus d’Ébola. Son foyer d’expansion restent les forêts ou les savanes tropicales. Il sied de noter que cet agent pathogène n’est pas du tout éradiqué de nos jours. Quand bien même il existe un vaccin pour le circonscrire. En fait, il ne cesse point de connaître des phénomènes de résurgence endémique. Notamment dans des zones géographiques très sensibles où l’exploitation minière à outrance sert visiblement de combustion à la violence armée.
Ce qui est clair, la culture des virus dans des laboratoires spécialisés, y compris la science génétique très chère au Nazisme hitlérien, a très nettement pris de l’ampleur avec le démantèlement du fameux mur de Berlin, d’ailleurs concomitant de la chute du communisme et du socialisme scientifique. Elle s’est officialisée, légitimée et même intensifiée avec la chute du régime ségrégationniste d’Apartheid à Pretoria.
C’est après la démocratisation des institutions politiques en Afrique du Sud[iv] – donc vers la fin des années quatre-vingt-dix – que l’on assiste soudainement à l’échelle de la planète terrestre à l’émergence des virus ‘‘mondialisés[v]’’. Ces agents infectieux qui ont, naturellement, la très nette capacité de voyager dans l’espace et non plus dans le temps, peuvent évidemment affecter la vie d’une personne humaine. Peu importe son lieu de résidence. Peu importe son âge. Peu importe ses activités[vi].
En effet, le monde manifestement devenu un grand village dont les habitants sont pratiquement interconnectés, l’Humanité quasi impuissante assiste à l’explosion de la grippe aviaire. Cette pathologie attaque les oiseaux en tant qu’agents transmetteurs et décime virulemment les volailles. L’Humanité est également confrontée à la peste équine et même porcine. Aussi est-elle littéralement submergée par la fièvre aphteuse qui affecte la santé bovine.
Il convient de noter que toutes ces maladies précitées qui détruisent la santé animale, sont, en réalité, provoquées par des agents infectieux transmissibles à l’être humain. Par conséquent, l’humanité assiste à une transmissibilité de type horizontal[vii] et non plus de type vertical[viii]. Cela est d’autant plus vrai que la viande animale très souvent en cause constitue la base même de l’alimentation humaine[ix]. Face à une hécatombe de telle ampleur, les scientifiques pointent du doigt le modèle nutritionnel appliqué aux animaux. Ceux-ci sont, en effet, forcés de consommer la farine carnée pour des besoins de production industrielle et de rentabilité économique. D’autres spécialistes indexent carrément le réchauffement climatique participant, selon leurs points de vue et analyses, à l’éclosion potentielle des virus.
Si la fin du vingtième siècle et le début du vingt-unième siècle sont inexorablement marqués par l’explosion virale, il n’en reste pas moins vrai que ces vecteurs infectieux sont, dans leur séquençage, comme par émerveillement la combinaison de plusieurs souches. C’est effectivement l’exemple du virus H1N1 dont les souches sont d’origine ‘‘humaine, aviaire et porcine’’. C’est aussi l’exemple du fameux Coronavirus (COVID – 19 ou SRAS – CoV – 2) qui terrorise actuellement l’humanité et dont les souches sont évidemment humaine et animale[x]. Pour certains experts médicaux[xi], le séquençage de COVID – 19[xii] est, à n’en point douter, le fruit d’une manipulation humaine. Chose que ne partagent pas toujours et même forcément d’autres spécialistes, infectiologues ou virologues.
Ce qui est sûr, l’explosion des maladies provoquées par des souches virales a ouvert de nouvelles perspectives économiques et industrielles pour des grands laboratoires pharmaceutiques. En effet, le marché des médicaments traditionnels est tellement, de nos jours, fort réglementé qu’il ne permet pratiquement plus à tous ces mastodontes industriels d’engranger des plus-values économiques conséquentes ou significatives. Cela est d’autant plus vrai que la production des médicaments génériques à très faible coût est venue complètement chambouler leurs prévisions monétaires voire même grignoter substantiellement leurs marges de manœuvre financières déjà réduites à la portion congrue.
En effet, la situation de pénurie monétaire enregistrée par ces unités de production fait craindre que les fameux ‘‘Big Pharma’’ soient tentés de fabriquer artificiellement des virus hautement contagieux dans des laboratoires high-tech dans le strict dessein d’endetter les États. Elle fait craindre que ces entreprises pharmaceutiques refilent, en réalité, aux gouvernements de la planète la facture d’achat des vaccins obligatoires destinés à la population afin de se prémunir des effets pervers de la contamination[xiii]. Avec naturellement pour conséquence immédiate l’augmentation drastique des taxes et impositions aux particuliers déjà asphyxiés par la lourdeur des charges fiscales. Sans compter qu’il n’existe, en réalité, aucune garantie à la parfaite immunisation de l’ensemble de la population à la suite de la prise des vaccins, d’ailleurs, fabriqués par les Big Pharma[xiv].
Par ailleurs, au même moment où la science génétique ou la virologie progresse à la vitesse de l’éclair du tonnerre, l’Humanité assiste pratiquement à la démocratisation de l’outil informatique. Elle assiste, en fait, à l’explosion de l’ordinateur qui entre, par effraction, dans les foyers et communautés, les écoles et entreprises. Cet instrument qui contribue sensiblement à la modification du comportement humain en termes de gestion du temps et de l’espace, de consommation des produits et services[xv], est aussi affecté par un mal nocif. Il s’agit des ‘‘virus informatiques’’.
À l’image de leurs confrères humains ou animaux, ces vecteurs pathogènes virtuels contaminent les ordinateurs. Ils perturbent voire neutralisent leur fonctionnement[xvi]. Ils s’insèrent souvent dans des logiciels malveillants et se répandent machinalement au travers des réseaux informatiques. Ces agents infectieux rendent même inertes les serveurs qui offrent une foultitude de services aux usagers et entreprises publiques ou privées.
Pour circonscrire la nocivité des ‘‘Virus informatiques’’, il est proposé aux clients un antidote : les ‘‘Antivirus’’. Ce précieux sésame joue pratiquement le même rôle que le vaccin administré aux êtres humains. À titre d'exemple : Prévenir toute invasion des intrus malveillants, renforcer le système immunitaire de l’ordinateur. Et pourquoi pas guérir le mal qui affecte son fonctionnement…
Comme quoi la vie humaine est, dorénavant, rythmée au pas des virus, qu’ils soient réels ou virtuels… En sera-t-il de même pour leurs antidotes[xvii] ?
Joël Asher Lévy-Cohen
Journaliste indépendant
www.joelasherlevycohen.over-blog.com
www.joelasherlevycohen.centerblog.net
www.joelasherlevycohen1.wordpress.com
[i] L’exorbitance d’un nombre ou la foule n’est pas toujours gage de dangerosité ou menace.
[ii] L’histoire humaine est jalonnée de moult exemples de pathologies qui ont décimé des masses immenses d’individus à travers les époques et les espaces. C’est l’exemple de la grippe espagnole qui a provoqué de nombreux décès au début du vingtième siècle en Europe, aux Amériques et en Asie. C’est aussi l’exemple de la peste et du choléra en Europe au Moyen-Âge. Tout comme la malaria et la fièvre jaune en Afrique en époque contemporaine.
[iii] Des peuples protohistoriques qui vivent paisiblement dans ces coins inaccessibles et même inhospitaliers, disparaissent à vue d’œil.
[iv] La République Sud-Africaine était effectivement très avancée en science génétique et en virologie sous le régime ségrégationniste d’Apartheid. L’une des conditions d’ailleurs fermement imposées par la communauté internationale au congrès national africain (ANC) de Nelson Mandela en vue de bénéficier de l’effectivité du pouvoir politique et administratif, autant que gouvernemental et institutionnel, était l’abandon pur et simple des programmes nucléaire et biochimique en vigueur sous le système mis en place par les Blancs.
[v] Un virus mondialisé fait irruption au même moment dans plusieurs pays et sur plusieurs continents.
[vi] Le virus du Nil occidental découvert en Ouganda en 1937 a fortement sévi au Canada et aux États-Unis à la fin des années quatre-vingt-dix et au début des années 2000.
[vii] D’une espèce à l’autre.
[viii] Au sein d’une même espèce.
[ix] La poule, le bœuf, le porc, le cheval, etc.
[x] Le pangolin ou la chauve-souris.
[xi] Le professeur Jean-Luc Montagnier est de cet avis.
[xii] La description de la suite ordonnée des bases azotées constituant un fragment d’ADN ou la détermination de la séquence des nucléotides.
[xiii] Le vaste marché du vaccin que reluquent les Big Pharma, les a incités a annoncé la fabrication d’un vaccin pour endiguer la propagation exponentielle du COVID – 19 ou SRAS – CoV – 2. Sans même attendre la fin des expérimentations et son homologation par les autorités administratives et sanitaires, nombre d’États et de gouvernements de la planète, tel le Brésil, ont déjà entrepris la vaccination de leurs ressortissants.
[xiv] Pour les tenants de la thèse ‘‘conspirationniste’’, les vaccins fabriqués par les compagnies pharmaceutiques serviront strictement à la dépopulation mondiale. Pour les complotistes, ils serviront à l’élimination drastique des pans entiers des êtres humains sur la planète Terre.
[xv] La communication, la transmission des données, la protection des renseignements, etc.
[xvi] Le phénomène de somnolence.
[xvii] Des résistances populaires s’organisent partout dans le monde pour refuser l’option de la vaccination de masse proposée par des autorités politiques, administratives, gouvernementales et sanitaires des pays.