La Terre est, à vrai dire, la Maison commune de tous les Terriens, quels qu'ils soient, où qu'ils vivent, et ce sans distinction aucune. C'est le patrimoine commun de toute l'humanité.
Qu’avons-nous fait de notre propre couronne ?
L’Être humain face à ses responsabilités naturelles
‘‘La conscience est la lumière de l’intelligence pour distinguer le bien du mal.’’ Confucius, philosophe chinois
Par Joël Asher Lévy-Cohen *
C’est une certitude que personne ne peut vraiment plus nier : ‘‘Nous vivons de nos jours dans un monde littéralement instable, non sécuritaire. Un monde qui se meurt lentement mais sûrement. Nous vivons dans une planète qui se décompose pratiquement au jour le jour’’. Ce constat malheureux n’échappe plus à l’œil nu. Il n’échappe plus à la conscience universelle…
En effet, notre univers terrestre, d’ailleurs, fort connu pour être la plus belle des planètes en raison de sa faculté ou de sa capacité à abriter la vie, a sensiblement perdu la boussole. Celui-ci est, en fait, très nettement et très violemment marqué par des brasiers conflictuels allumés par-ci et par-là et des famines artificiellement provoquées. En réalité, cet environnement terrestre éprouvé est très nettement et très sévèrement rongé par des calamités de toutes sortes.
Ces catastrophes qui sont, évidemment, dans nombre de cas, l’œuvre incontestable de l’espèce humaine, ont indéniablement une incidence fort fâcheuse sur la santé particulière de l’individu et générale de son environnement physique. Celles-ci se traduisent pratiquement en termes de ‘‘détérioration climatique’’, de ‘‘sècheresse’’, de ‘‘pollution de tous genres[i]’’, de ‘‘destruction irréversible de l’habitat ou de la nature’’. Aussi ces calamités se traduisent-elles visiblement, [ce qui est, d’ailleurs, indiscutablement la conséquence logique et ultime], en termes de ‘‘disparition brutale et, surtout, accélérée des espèces[ii]’’.
La santé générale de l’humanité ne périclite pas que sur le terrain physique. Aussi connaît-elle visiblement une déchéance autant vertigineuse qu’accélérée au double plan de la morale et de la spiritualité. En effet, la Terre, entièrement dominée par bien des esprits loufoques dont l’égarement relève, sans aucun doute, de l’hystérie psychiatrique, est très sérieusement confrontée au double phénomène croisé de l’affaissement spirituel et du dérèglement moral. Cet univers terrestre évidemment habité par des êtres humains est très littéralement marqué par la promotion d’un féminisme stérile et destructeur. Aussi est-il profondément rongé par la confusion sexuelle, la bestialité, l’éclatement du masculinisme conquérant essentiellement fondé sur la violence ‘‘répressive’’, le démantèlement de la phallocratie prédatrice et sanguinaire[iii].
Il sied de relever que ce monde prétendument nouveau s’appuie inéluctablement sur des antagonismes sociaux pour s’ancrer et s’édifier. Pour, d’ailleurs, survivre et se maintenir contre vents et marrées, il exploite à fond, que d’aucuns diraient ad nauseam, des conflits intercommunautaires[iv]. La logique est, naturellement, celle de ‘‘divide ut imperare’’[v].
Pour perpétuer son hégémonie, ce fameux nouveau monde a réussi à désintégrer complètement l’espèce humaine en lui ingurgitant des valeurs funestes[vi]. Aussi a-t-il réussi à transformer mentalement l’être humain en vrai esclave de ses propres désirs ou phantasmes sociaux[vii]. Bref il a réussi à le transformer tout simplement en bon serviteur patenté ou porte-parole de ses délires loufoques ou destructeurs.
Il importe, d’ailleurs, de noter que cet environnement totalement malade imposé à tout prix à l’humain par des forces obscures est littéralement dominé par l’argent. Devenu l’essence de la société et la pierre angulaire de la civilisation en raison du matérialisme qui le sustente, celui-ci s’est finalement substitué à tous points de vue au phénomène divin. Il en porte même les attributs essentiels.
En effet, l’argent est présent et partout comme l’est, en réalité, un dieu. Il est aussi puissant comme lui. Il peut aussi bien punir que récompenser tous ses utilisateurs comme l’est, d’ailleurs, une divinité authentique. Il est manifestement vénéré. Tout le monde se prosterne devant lui. Tout le monde le loue la tête baissée, les genoux fléchis. Il quadrille toute la collectivité avec des banques et guichets automatiques qui sont, en réalité, des temples louangeurs de la finance[viii].
De même qu’au nom de dieu, il est, certes, prêt à sacrifier sa vie personnelle et celle précieuse de son prochain, [qui est, pourtant, son propre miroir ou son propre reflet], de même l’être humain est prêt à asservir les Nations du monde entier et à liquider des peuples de la planète terrestre. Au nom de la haute finance, des forces de l’argent, il est totalement prêt à leur arracher toute dignité et toute liberté. Il est vraiment prêt à leur renier gratuitement toute justice et toute équité. Celui-ci est visiblement prêt à leur méconnaître toute paix et toute sécurité[ix].
Avec la haute finance aux manettes de la collectivité, l’humanité est évidemment devenue un immense camp de concentration à ciel ouvert. Elle s’est transformée en véritable mouroir. Elle est même devenue un abattoir géant pour la rapide mise à mort de l’espèce humaine[x].
Dans ce monde, la notion élémentaire de droit et de liberté est pratiquement foulée aux pieds. C’est, à vrai dire, la loi du plus fort qui s’applique à tout bout de champ. En d’autres termes, c’est la jungle qui est indubitablement le visage permanent de la planète Terre. C’est la jungle qui est, tout à fait, la réalité macabre et quotidienne des populations asservies et sans défense aucune.
Dans cet univers, la Nature qui repose en principe sur la loi immuable de l’équilibre a, en effet, perdu tout respect et toute considération. Pour un rien, des vies entières sont sauvagement sacrifiées par des machines de répression sanglante strictement placées par les forces de l’argent à la tête des gouvernements et des États[xi]. Dans ce monde de rapacité, épris de spoliation meurtrière et d’exploitation matérialiste où le dieu s’avère, plutôt, l’argent[xii] et l’économie est sensiblement la religion des mécréants, les êtres humains sont, en réalité, des prisonniers ou esclaves. Ceux-ci sont, plutôt, des machines concrètement destinées à la production outrancière et des robots pleinement voués à la consommation aveugle[xiii].
Dans cet univers de captivité permanente où le matérialisme est indéniablement la religion suprême, - [tandis que l'esclavagisme est incontestablement la pratique mystique et spirituelle] - l’humanité privée de toute liberté et de toute dignité perd, bien entendu, sa couronne royale qu’est, évidemment, la Terre[xiv]. En effet, l’être humain tire toute sa force de cette planète bleue. Celle-ci lui fournit toutes les ressources vitales, d’ailleurs, indispensables à sa croissance et à son épanouissement. En fait, elle lui procure très gratuitement toutes les ressources alimentaires et nutritives en vue de prolonger son séjour ici-bas. Aussi lui fournit-elle toutes les ressources médicales et pharmaceutiques pour se soigner et disposer d’une puissante énergie qui lui permet d’assurer toute son existence physique[xv].
Pris en otage par des forces sans conteste obscures et malveillantes, cet univers de captivité fragilise davantage l’être humain à telle enseigne qu’il vit dans l’angoisse du futur. Il le martyrise au point que celui-ci vit dans l’insécurité permanente parce qu’il est délibérément privé de paix et de bonheur, de liberté et de dignité, de justice et d’équité. Il le prive de vie parce que son destin se conjugue désormais en termes d’extinction pure et simple d’espèce[xvi]. Cela est d’autant plus vrai que, aux quatre coins de la planète Terre, des peuples à part entière ont complètement disparu ou sont nettement en voie de disparition, lente mais progressive, à cause de l’égoïsme, de l’attachement viscéral à l’argent, de la fixation sur la plus-value économique.
Au nom de cet attachement pathologique aux richesses matérielles, des idéologies prônant systématiquement la dépopulation de la planète Terre fleurissent. Celles-ci font rapidement florès auprès d’une certaine élite ‘‘intellectuelle’’, ‘‘économique’’ et ‘‘financière’’. D’après toutes ces théories qui donnent incontestablement froid dans le dos, la diminution de la démographie mondiale s’impose inéluctablement en raison de la diminution drastique des ressources vitales participant à la survie de l’humanité. À cet effet, l’humanité doit se préparer à perdre une masse immense de ses habitants pour mieux assurer la répartition des richesses[xvii].
Au-delà de l’élimination drastique de la population terrestre, il est plutôt question de fabriquer par ingénierie génétique une nouvelle espèce humaine. Celle-ci doit être une sorte d’homo sapiens en version revue et corrigée. À cet égard, le nouvel être humain rêvé ou conçu par génie génétique par ces théoriciens de l’eugénisme devrait être un sujet ‘‘augmenté’’. La communauté scientifique qui se penche sur ce nouveau type humain, prévoit normalement accroître toutes ses capacités ‘‘physiques’’ et ‘‘mentales’’. Pour ce faire et, surtout, pour le rendre plus performant dans le sens on ne peut plus productiviste du terme, celui-ci sera, en réalité, ‘‘mi-humain’’ et ‘‘mi-bionique’’.
Si elle a concrètement été à la base de grands bouleversements politiques et sociaux autant que culturels et économiques, il n’en reste pas moins vrai que la révolution, d’ailleurs, amorcée par le fameux siècle des Lumières a complètement marginalisé le rôle de la Providence divine dans l’entreprise humaine. Pour ce faire, celle-ci a naturellement fait de l’être humain le principal ‘‘acteur’’ de son destin. S’appuyant substantiellement sur la science et rejetant catégoriquement les superstitions, elle a fait de ce dernier le principal créateur de sa vie ou le seul auteur de son existence physique.
Cette interprétation philosophique issue directement du siècle des Lumières a eu pour effet d’écarter le principe fondamental du ‘‘prédéterminisme’’ qui affecte la vie des humains sur la planète Terre. D’après cette théorie qui ‘‘met en exergue l’impuissance de l’homme en tant que créature et la préscience de Dieu en tant que créateur, la vie humaine est totalement conditionnée par la volonté divine qui intervient dans chaque événement’’. En écartant donc ce principe prédéterministe, le siècle des Lumières a pratiquement fait de l’être humain un ‘‘Génie créateur’’, un ‘‘Esprit inventeur’’. Il fait pratiquement de lui un ‘‘Égal de l’Être divin’’ par sa capacité à façonner sa propre vie, à mouler l’existence physique, à se la concevoir selon ses caprices et phantasmes, selon ses vues et espérances.
Partant de là, le siècle des Lumières substitue le prédeterminisme à l’humanisme. Par ce rejet éminemment philosophique et intrinsèquement religieux, il consacre le triomphe de l’Homme. Dans cette nouvelle configuration idéologique, l’homme n’est plus une simple créature de Dieu, certes, chargé de le maintenir définitivement en état d’esclavage. Il devient, plutôt, sa propre créature. Par conséquent, il devient un être manifestement libre de toute volonté, fût-elle divine. Il appert que le siècle des Lumières consacre effectivement l’humanisme terrien en termes de puissance de l’intelligence permettant à l’humain de repousser continuellement les limites de la connaissance et du savoir par la force de sa curiosité et le goût de l’aventure.
Par ailleurs, en écartant le prédéterminisme qui fait intervenir la Providence divine dans l’action humaine et dans l’existence physique, le fameux siècle des Lumières ouvre très largement la voie à l’athéisme en chantant haut et fort les louanges de l’homme complètement libéré du carcan divin. Cependant, dans la seule et unique perspective de création d’un ‘‘être’’ ou d’invention d’un homme substantiellement ‘‘augmenté’’, la nouvelle espèce humaine à produire industriellement ne confiera plus les clefs de son destin à l’homme. Même Dieu, le très célèbre Créateur de la vie selon les Saintes écritures, ne bénéficiera évidemment plus d’un tel monopole ou tel privilège.
En effet, l’homme entend, plutôt, confier tout son destin entre les mains de simples machines. Il entend, plutôt, le confier aux ordinateurs. C’est effectivement l’ère de l’intelligence artificielle qui assure le passage de l’humanisme au transhumanisme, et par-dessus le marché au posthumanisme. Force est d’admettre que celle-ci est pratiquement censée régler toute la vie humaine comme une horloge.
Il est un fait indéniablement établi que dans la civilisation postindustrielle qui met pleinement l’emphase sur l’automatisation ou la robotisation, l’être humain a été définitivement écarté du processus de production au profit exclusif de la machine. Cependant, dans la société posthumaniste sans doute promue par des théoriciens eugénistes, l’informatique et l’électronique en sont réellement la pierre angulaire, le moteur. Cette nouvelle posture entraîne donc logiquement et forcément que les ordinateurs deviennent les nouveaux dieux et nouveaux acteurs ou déterminants de l’existence humaine.
Joël Asher Lévy-Cohen
Journaliste indépendant
www.joelasherlevycohen.centerblog.net
www.joelasherlevycohen.over-blog.com
www.joelasherlevycohen1.wordpress.com
[i] Sonore, visuelle, chimique, atmosphérique.
[ii] Animale, végétale, humaine.
[iii] Le droit de cuissage, la suprématie masculine, la misogynie et le féminicide se sont, en réalité, révélés les caractéristiques principales de cette phallocratie.
[iv] Dépendamment des régions voire des pays d’une même sous-région, les différends opposent brutalement les principales religions traditionnelles. Ils opposent violemment les différentes races et cultures, les peuples et nations au profit de puissants intérêts égoïstes et malveillants, éloignant ainsi le spectre reluisant de la paix et de l’harmonie universelle, repoussant par conséquent les rayons lumineux de la fraternité et de la solidarité.
[v] Le principe latin de ‘‘diviser’’ pour mieux ‘‘régner’’.
[vi] La promotion du célibat des femmes en âge de procréer, la féminisation tous azimuts des hommes, la peur d’engagement matrimonial des hommes, le refus catégorique du mariage hétérosexuel en tant que modèle de perpétuation de l’espèce humaine et principal facteur de rotation des générations, la promotion agressive de la pédophilie ou de l’éphébophilie, de l’inceste et de la zoophilie à travers les réseaux sociaux ou médias alternatifs, l’hypersexualisation des mœurs sociales, etc.
[vii] La course effrénée au pouvoir pour le pouvoir, à l’enrichissement autant illicite que personnel, l’attachement à la gloire personnelle, l’identification au matérialisme le plus abject.
[viii] Ces temples administrés par des ecclésiastiques d’un tout nouvel ordre religieux sont érigés à chaque coin de rue ou au milieu du village, bien entendu à la gloire immarcescible de l’argent tout-puissant.
[ix] Les guerres artificiellement provoquées en Irak, en Libye, en Syrie ou en Ukraine postsoviétique, le soutien aux tyrannies meurtrières et systèmes verrouillés en Afrique, en Asie et en Amérique centrale et latine, l’appui stratégique et militaire au régime ségrégationniste d’Apartheid en Afrique du Sud.
[x] L’humanité est effectivement érigée en un immense camp de la mort pour l’élimination physique de la race humaine. En effet, les êtres humains meurent journellement par manque de médicaments et de centres de santé et d’hygiène publique, par manque d’aliments nutritifs ou à forte teneur protéique et de conditions de salubrité. Ces derniers périssent par manque de connaissance et de précaution sanitaire et prophylactique.
[xi] Le cas de l’Ukraine postsoviétique est, à ce point, éloquent. Ce pays de l’Europe centrale et orientale que se disputent évidemment des intérêts divergents, est devenu, de nos jours, la propriété privée des compagnies étrangères ou la proie facile des multinationales qui lorgnent son sol et guettent comme un fruit mûr son sous-sol. Son nouveau statut explique en partie les raisons pour lesquelles cette ancienne république soviétique tout à fait transformée en laboratoire et grande industrie de fabrication des agents pathogènes ou infectieux, est embarquée malgré elle dans une entreprise guerrière dont le coût humain est absolument catastrophique pour sa propre population.
[xii] Un simple bout de papier portant une écriture comptable.
[xiii] L’empire de la consommation du futile par des individus faibles d’esprit. Celle-ci est effectivement rendue possible par une industrie complètement axée sur la production des futilités et, surtout, doublement gérée par une élite bourgeoise ‘‘centrale’’ et ‘‘périphérique’’ dont la conscience est manifestement polluée, qui souffre réellement d’atrophie mentale.
[xiv] La couronne est, par définition, une parure de forme circulaire. Portée sur la tête, celle-ci symbolise, en fait, la dignité ou l’insigne de puissance ou d’autorité. Symboliquement, la Terre représente une couronne pour l’être humain. En effet, par la multiplicité de ressources mises à sa pleine et entière disposition, cette planète lui garantit la survivance de son espèce. Elle lui assure prolifération et expansion, développement et progrès, liberté et sécurité. Par ailleurs, la couronne de l’humain, c’est aussi symboliquement sa propre vie ou sa propre existence dont il a le suprême devoir de protéger, de rendre plus prospère et plus juste, plus sécuritaire et plus harmonieuse, plus digne et plus libre, plus robuste et plus pacifique.
[xv] La Terre procure, en réalité, à l’être humain toutes les ressources lui permettant devenir pratiquement un Être immortel. Elle lui assure, donc, la continuité de la vie au sens physique du terme. Elle lui assure, en fait, la perpétuation de son espèce ainsi que la longévité.
[xvi] Bon nombre de peuples autochtones ont complètement disparu de la face de la planète Terre en raison des épidémies mortelles, des guerres impitoyables et de la colonisation ou occupation forcée de leurs terres ou territoires par des puissances exogènes.
[xvii] Si elles posent, en réalité, de très nombreuses questions sur le plan de l’éthique, entre autres la pertinence d’une telle mesure macabre au regard de multiples possibilités qui s’offrent évidemment à l’être humain, toutes ces idéologies somme toute ‘‘dépopulationnistes’’ ne disent jamais clairement qui devrait prendre une telle décision capitale et gravissime et pourquoi. Elles ne disent jamais clairement dans quelles circonstances celle-ci doit être prise et dans quel intérêt. Ces théories macabres ne désignent jamais clairement les Peuples et Nations de la Terre qui doivent faire les frais d’une telle décision. Une fois identifiées toutes ces communautés à qui on refuse catégoriquement le droit de vivre leurs vies, de jouir de leur existence telle qu’elles l’entendent, ces théories sans doute mortifères ne disent jamais la manière brutale ou douce dont celles-ci devraient aller ad patres. Ce qui est tout à fait sûr et certain, l’humanité vivante est bel et bien entrée dans l’ère de pandémies et de vaccins. Ces idéologies mortifères se gardent également de dire comment les ressources matérielles et terrestres doivent être équitablement réparties entre les êtres humains en situation de carence ou de limitation drastique des richesses de la Terre. En effet, lorsqu’elles étaient abondantes ou suffisantes pour nourrir et enrichir l’ensemble des habitants de la planète, celles-ci ont été plutôt intentionnellement confisquées par les États du Nord et de puissants intérêts occidentaux pour se bâtir une hégémonie meurtrière, une domination arbitraire fondée sur la paupérisation des peuples et Nations du Sud.