D'après les croyances orientales, Satan fut un Archange céleste. Il était, en principe, le plus fidèle serviteur de l’Éternel, son collaborateur le plus chéri. Malheureusement, et en raison de sa malignité, Satan a fini par être complètement déchu par le Divin pour avoir envié son Trône et, surtout, voulu subtiliser sa Toute-Puissance, pour avoir dérobé et, surtout, détourné la science divine pour ses propres intérêts obscurs et funestes. Pour ses adeptes les plus farouches ou les plus ardents, Satan est le véritable Maître du Monde physique. C'est lui qui procure la sagesse et la richesse à l'être humain. Toutefois, les religions chrétiennes lui opposent aisément Jésus comme le Fils unique de D.ieu et la seule et grande figure de la liberté. Bref, le Roi des Rois.
Radioscopie de la Terre
L’Être humain face à son action
Conscience divine ou conscience démoniaque
Que sommes-nous vraiment devenus ?
‘‘Nous sommes le monstre d’humanité car nous avons déclaré combat à la Nature.’’ Albert Cohen, écrivain, poète dramaturge suisse roman (1895 – 1981)
Par Joël Asher Lévy-Cohen
Dans quel monde vivons-nous exactement aujourd’hui ? Le portait de la planète laisse pratiquement à désirer. L’Humain vit présentement sur une Terre consumée par des guerres de grande envergure[i]. Censés déstabiliser des régions entières, ces conflits armés meurtriers provoquent subséquemment des déplacements massifs de populations. En raison de la qualité d’armes usées sur le terrain de conflits en vue d’écraser les forces ennemies[ii], ils provoquent conséquemment des maladies dégénératives. À cet égard, il sied de penser au rôle primordialement néfaste joué par des armes chimiques[iii], nucléaires[iv], biologiques ou bactériologiques[v].
Il y a lieu de noter que l’être humain ne provoque généralement pas des guerres dans l’intention majeure ou le souci fondamental de se défendre. Il les provoque plutôt pour des raisons purement économiques. Il les génère plutôt pour des motifs essentiellement mercantilistes. En effet, dans ce domaine sans nul doute lucratif, il est naturellement question pour lui d’assurer des débouchés économiques à des entreprises nationales[vi]. Il est indubitablement question pour lui de garantir des sources d’approvisionnement des matières premières à des industries de pointe. À cet effet, la guerre[vii] est indéniablement devenue un outil de conquête des richesses économiques et de confiscation des ressources matérielles à travers le monde[viii].
En d’autres termes, c’est la cupidité qui est sûrement la raison première des conflits armés dans le monde. C’est assurément la rapacité qui est la cause principale des guerres meurtrières auxquelles assiste, d’ailleurs, impuissant l’Humain[ix]. Cet être est, en réalité, devenu l’otage des puissances économiques et financières dont la couverture sont les forces armées des États soi-disant indépendants et souverains, des [Superpuissances]. Il est certes devenu le prisonnier des intérêts impérialistes. Ceux-ci manipulent de manière grossière et dégoûtante les forces de l’argent au détriment de l’Humanité.
Ce même sentiment de prédation pathologique doublée de cupidité meurtrière est observé dans l’industrie pharmaceutique et alimentaire. En effet, dans le marché mondial des médicaments, les États du Tiers-Monde vivent réellement un système d’Apartheid économique savamment dosé. Ce régime d’exclusion qui ne dit pas son nom, ne leur permet pas de breveter leurs découvertes médicales. Ce qui a, certes, pour effet immédiat de les rendre entièrement dépendants des pays du Nord en ce qui concerne l’écoulement de leurs produits médicaux.
Force est bien entendu de relever que fondé essentiellement sur une vision injuste, un tel système interdit formellement à ces nombreux pays fragiles de développer leurs propres réseaux de fabrication et de distribution des médicaments à base de plantes traditionnelles dans le but d’endiguer certaines pathologies parasitaires, microbiennes, bactériennes voire virales. À ce propos, le plus bel exemple est sans aucun doute le médicament contre le ‘‘paludisme’’ qui tue des millions d’individus dans les zones tropicales de la planète terrestre. Il convient de constater que son homologation n’est point garantie par des instances internationales habilitées dans la mesure où cette maladie parasitaire participe très clairement et très nettement aux politiques de soi-disant stabilisation des populations mondiales. En d’autres termes, cette absence de certification contribue, [cynisme oblige !], pratiquement à la dépopulation de certaines régions de la Terre[x].
Aussi ce régime de prédation pathologique s’appuyant substantiellement sur la cupidité meurtrière est-il observé dans l’agro-industrie[xi] ou industrie alimentaire[xii]. En effet, certains conflits armés sont sponsorisés par l’establishment mondial en vue de confisquer des terres arables au profit de Transnationales. À ce niveau, la guerre actuellement en Ukraine est un des exemples les plus frappants et les plus notables. En effet, les terres ukrainiennes, d’ailleurs, fort connues pour la fertilité naturelle du sol ont été toutes vendues à des Multinationales occidentales dont principalement américaines. Une telle captation leur permet de contrôler la totalité des circuits de production, transformation et distribution des ressources alimentaires, y compris leurs cours mondiaux[xiii].
Hormis la cupidité, l’Humanité ambiante se meurt en raison du mensonge. Cette tactique est devenue, au travers de la double propagande étatique et médiatique, un modèle certifié de gouvernance. Cette manœuvre est très souvent usée dans le dessein d’escamoter la véritable réalité des finances publiques des États. En effet, la plupart des pays affichent des performances économiques tout à fait médiocres, et ce depuis de nombreuses années. Normalement, ceux-ci se doivent de déclarer faillite puisqu’ils sont résolument déficitaires à tous les niveaux de la comptabilité nationale.
En vue de détourner systématiquement et automatiquement l’attention de leurs populations respectives autant abusées que désabusées, les gouvernants tendent à fabriquer, avec la complicité indéniable et, surtout, l’aide précieuse des Médias ‘‘Mainstream’’, des évènements hautement spectaculaires[xiv]. Ces détournements odieux ont concrètement pour objectif fondamental de désorienter l’ensemble de l’opinion publique sur les véritables enjeux politiques, sociaux et culturels. Aussi ont-ils eu pour mission de désorienter l’opinion publique sur les désastres épouvantables et les déviances monumentales des gouvernants indélicats. Ils ont, en réalité, pour mission primordiale de la laisser ‘‘figée par la peur et l’émoi’’.
À ce propos, la tristement célèbre pandémie provoquée par le COVID – 19, lequel a tenu en haleine le monde entier, a, selon certains commentateurs et influenceurs des réseaux sociaux, été inventée de toutes pièces. Pour certains lanceurs d’alerte, ce virus a été fabriqué dans des laboratoires dans le but de camoufler la mauvaise santé des finances publiques, d’ailleurs, affichée par bien des États de la planète. Elle a été artificiellement provoquée dans le dessein de détourner des fonds publics au profit de forces économiques et financières qui dictent la marche à suivre aux gouvernements[xv].
À ce niveau, ce qui révulse tout à fait l’esprit humain, est bel et bien le discours mensonger des États et gouvernements qui sont extrêmement réticents à financer divers programmes sociaux[xvi] au profit de leurs ressortissants ‘‘économiquement’’ défavorisés ou ‘‘socialement’’ démunis. En revanche, il y a lieu de reconnaître que ces entités publiques trouvent facilement de l’argent pour financer des efforts de guerre dans le monde entier alors même que leurs propres populations manquent pratiquement de tout. En réalité, celles-ci souffrent de plus en plus de précarité aigüe par manque de pouvoir d’achat leur permettant, bien entendu, d’accéder aux biens de consommation ou biens de valeur.
Ces populations auxquelles il est imposé d’énormes sacrifices, peinent réellement à nouer les deux bouts du mois. Malgré la jouissance d’un emploi dont le revenu salarié ne suit aucunement le rythme de l’inflation, elles deviennent des abonnées de banques alimentaires. Ces dernières sont, certes, normalement réservées aux personnes les plus démunies. Acculés à l’endettement, bon nombre de ménages deviennent, du jour au lendemain, sujets à des faillites économiques et financières. Cette situation dramatique entraîne, par voie de conséquence, la perte drastique et lourde de certains investissements, tels l’achat d’une maison ou l’acquisition d’une voiture, pour manquement à l’obligation hypothécaire voire défaut de versement mensuel.
Le comble dans tout ce sombre tableau est que la ruine de toutes ces familles qui ont trimé dur pour atteindre un certain standing social, les destine précipitamment à la rue. Cette chute vertigineuse les condamne, plutôt, à l’itinérance sociale. Par conséquent, le phénomène ‘‘sans-abri’’ constaté dans les agglomérations devient malheureusement la seule issue possible. Le phénomène ‘‘sans-rien’’ devient évidemment la seule réalité. Contre toute attente, ‘‘la misère humaine devient même une norme sociale’’…
Au nom de la plus-value économique et du sacrosaint pouvoir financier, l’humain est résolument prêt à éliminer son prochain[xvii] et, surtout, à provoquer un génocide à vaste échelle pour servir ses intérêts matériellement obscurs. Il est effectivement prêt à éliminer des peuples protohistoriques qui vivent depuis des millénaires dans des forêts dans le but d’exploiter à outrance les ressources minérales et naturelles qu’elles renferment. Il est vraiment prêt à les effacer complètement de la surface de la Terre dans la stricte intention de bâtir à n’en plus finir des fermes agricoles de nature industrielle pour soi-disant nourrir le monde entier.
Dans son arrogance légendaire, l’être humain est, certes, prêt à détruire, sans états d’âme, l’habitat naturel des peuples premiers dans l’optique de mettre uniquement au point une agriculture de type intensif. En fait, il adopte cette vision macabre et cette stratégie mortifère dans l’optique de produire du carburant à base d’éthanol pour les véhicules. Comme quoi l’agriculture ne sert pratiquement plus, de nos jours, à ‘‘nourrir l’espèce humaine’’. Loin de là ! Ironie du sort, cette activité qui témoigne très franchement de la survie de l’Humain sert, plutôt, à ‘‘nourrir des machines et automobiles’’. Elle sert, plutôt, à détruire inconsciemment l’humanité ambiante en raison de la contamination sempiternelle du sol et du sous-sol. Elle sert, plutôt, à tuer l’être humain en raison de l’usage incontrôlé de pesticides chimiques qui constituent indubitablement une bombe à retardement pour la santé aussi bien de l’homme que de son environnement….
D’où cette question anodine qui mérite d’être simplement posée. Sans la moindre arrière-pensée ! L’humain adore-t-il vraiment voir son prochain croupir dans le malheur, vautrer dans le désespoir, pour mieux se présenter comme le Sauveur du monde ? Adore-t-il voir son pair engluer dans la misère la plus exécrable, patauger dans des difficultés extrêmes, sombrer dans d’immenses souffrances pour mieux le contrôler et, surtout, mieux le manipuler ?
Ce qui est absolument sûr et certain, voire incontestable, la plus grande destruction de l’être humain par les forces de l’argent réside manifestement dans sa dimension morale et spirituelle, tout comme intellectuelle ou mentale, et même psychique. Il suffit simplement d’observer le fonctionnement des industries culturelles, telles la haute couture, le cinéma, la musique, l’école, etc.
Par ailleurs, hormis le Satanisme qui a, incontestablement, le vent en poupe sur le terrain purement religieux, c’est bel et bien l’homosexualité qui, à l’entame du troisième millénaire, a fait d’immenses progrès pour sa tolérance, d’énormes percées pour son acceptabilité sociale. Hier marginalisé pour des motifs religieux, ce phénomène socioculturel est, aujourd’hui, très largement répandu. Il a pris beaucoup d’ampleur au point d’être même protégé par des législations nationales, et ce en dépit de quelques résistances farouches rencontrées çà et là pour des raisons somme toute culturelles et traditionnelles.
En occident chrétien, et ce contrairement au reste de la planète terrestre où les vieilles traditions n’ont pratiquement pris aucune ride, les pratiques homosexuelles sont, en fait, très nettement et très clairement favorisées parce qu’elles contribuent, dit-on à très haute voix, à mousser en sourdine l’idéologie de la dépopulation mondiale. Cet argument est-il vraiment contestable dans la mesure où il existe réellement des individus bisexuels ? En effet, ces derniers s’adonnent allègrement aux pratiques homosexuelles tout en ayant des enfants qui sont, en vérité, le fruit de leur amour charnel avec des hétéros…
Joël Asher Lévy-Cohen
Journaliste indépendant
www.joelasherlevycohen.centerblog.net
[i] Des guerres qualifiées de sale en raison de la propension des combattants à faire preuve d’inhumanité, du comportement déplorable et épouvantable des assaillants qui font montre de bestialité.
[ii] Propagande politique et militaire oblige, il leur est conféré le statut de bêtes sauvages à éradiquer coûte que coûte.
[iii] Ie guerre mondiale.
[iv] IIe guerre mondiale.
[v] Vu la qualité des armes utilisées, la guerre du Vietnam en est, certes, une très belle illustration. La guerre du Golfe arabo-persique a été un véritable champ d’expérimentation pour l’usage des armes destructrices.
[vi] Dans le jeu politique et institutionnel, ces corporations ou forces économiques mènent les gouvernements par le bout du nez. C’est elles qui financent leurs campagnes politiques et électorales.
[vii] La guerre qui, en principe, est à la suite d’une déclaration officielle, une confrontation militaire entre (divers) États reconnus et membres de la société interétatique, se veut, en vérité, une occasion en or, une opportunité de brasser des affaires juteuses. En effet, les belligérants sont obligés de s’endetter économiquement et financièrement pour espérer atteindre leurs objectifs stratégiques.
[viii] Fait concrètement foi la guerre engagée par les pays du Nord dans les contrées africaines, entre autres dans le Sahel, sous le prétexte fallacieux de combattre le terrorisme islamique armé. Le principal enjeu de toutes ces interventions armées est, bien sûr, la captation des ressources gazières et pétrolifères au détriment de leurs propriétaires naturels.
[ix] Il importe de reconnaître et même d’admettre que la lutte contre la drogue en Amérique latine et au Moyen-Orient, le combat contre le terrorisme engagé dans la région africaine du Sahel ou au Proche-Orient par bon nombre de puissances occidentales et les conflits armés en Libye, en Syrie et en République démocratique du Congo sont dictés par cette logique d’extorsion des matières premières précieuses et stratégiques.
[x] Sous la pandémie, d’ailleurs, provoquée par le coronavirus (COVID – 19) entre 2019 et 2021, le Madagascar qui voulait commercialiser un produit salvateur issu de recherches médicales locales et, surtout, adapté aux marchés strictement africains, a été finalement contraint d’abandonner la distribution de ce médicament en raison de la trop forte pression de grands groupes pharmaceutiques ayant indéniablement noyauté les États et gouvernements de la planète Terre. Y compris la direction suprême des organisations interétatiques. Avec l’onction de grandes instances sanitaires internationales, ces mastodontes du médicament ont pratiquement réussi à imposer la vaccination globale des populations (le fameux vaccin ARN-messager) aux pays de la planète. Ce qui est en soi une arnaque sur le plan aussi bien économique que financier. En effet, la majorité des responsables politiques ayant pour mission de mettre en œuvre cette politique de vaccination avaient des actions dans entreprises chargées de fabriquer des vaccins administrés à leurs populations.
[xi] Des études scientifiques ont démontré une très nette corrélation entre usage à outrance des pesticides chimiques et chute drastique des spermatozoïdes masculins contribuant activement à la fécondation des ovules féminins pour la procréation.
[xii] La véritable mission de l’industrie agroalimentaire est de gravement contaminer les consommateurs avec des substances chimiques nocives utilisées à titre d’engrais pour soi-disant fertiliser le sol ou de traitement d’éradication pour combattre les insectes ou bêtes qui ravagent les récoltes. C’est de les rendre délibérément malades en vue de dépendre de l’industrie pharmaceutique qui, à son tour, les contamine avec l’administration d’une médication inappropriée.
[xiii] La crise récente du pain en Afrique et dans les pays du Maghreb est consécutive au déclenchement des hostilités armées entre l’Ukraine – soutenue logistiquement et techniquement par l’Occident chrétien à titre de Cheval de Troie – et la Fédération de Russie – que les forces politico-militaires de l’OTAN veulent coûte que coûte mettre à genoux en raison de toutes ses richesses aussi bien minérales et naturelles que précieuses et stratégiques –.
[xiv] Des évènements bénéficiant d’une large couverture médiatique. À titre d’exemple, le retentissant procès du footballeur américain (Orenthal James) OJ Simpson a permis d’escamoter la responsabilité directe des États-Unis dans la commission du génocide au Rwanda en 1994. La bataille judiciaire opposant l’acteur (John Christopher) Johnny Depp et l’actrice Amber Laura Heard en 2022 a servi à couvrir la participation directe des États-Unis dans la guerre menée en Ukraine par des puissances occidentales (celles-ci ont débloqué des sommes considérables). Aujourd’hui, l’Affaire P. Diddy, [une affaire sordide de mœurs mêlant pêle-mêle sexe, argent, succès, célébrités, pratiques sataniques, sadomasochisme, bisexualité et comportements homosexuels], qui implique réellement de gros poissons du show-business et d’Hollywood ne sert qu’à camoufler, plutôt, la grande débâcle de la politique américaine dans le monde entier (Europe centrale, Moyen-Orient, Afrique, Asie-Pacifique, etc.) et la défaite actée des forces militaires de l’OTAN et politiques de l’Union européenne (UE) en Ukraine. Aussi sert-elle à escamoter la récession qui frappe de plein fouet les économies occidentales et grignote très sévèrement les finances et épargnes des ménages condamnés à déclarer faillite.
[xv] Le débat fait rage au sein de très hautes instances de l’Union européenne (UE).
[xvi] Logements, écoles, hôpitaux, etc.
[xvii] Des peuples contemporains ont été froidement et gratuitement sacrifiés sur l’autel des intérêts matérialistes pour satisfaire la gloutonnerie des Multinationales et renforcer l’hégémonie des États occidentaux. Les Kurdes des Proche-Orient et Moyen-Orient pour le contrôle des nappes pétrolifères et gazières, les populations de l’Est de la République démocratique du Congo pour les industries automobile, aérospatiale et électronique ou informatique.