L'humanité n'est véritablement vivante que lorsqu'elle se manifeste avec éclat par la fraternité universelle et la solidarité interhumaine. Elle s'évapore complètement lorsqu'elle s'enferme définitivement dans le matérialisme et dans le déni des principes fondamentaux (justice et équité). Elle agonise lorsqu'elle prône ouvertement l'exclusion. Et, elle meure subitement lorsqu'elle donne libre cours à des conflits meurtriers préjudiciables à la justice et la dignité humaine.
Homo Homini ‘‘Virus’’ (L'homme est un virus pour l'homme)
De quoi souffre-t-elle exactement l’humanité ambiante ?
‘‘L'humanité est une misérable espèce gouvernée par l'estomac, par le ventre, par le tube intestinal’’ Victor Cherbuliez ; Les profils étrangers (1889)
Par Joël Asher Lévy-Cohen *
Quel est véritablement l’état de notre humanité ? Telle est, à n’en pas douter, la question qui taraude nos esprits et revient incessamment sur nos lèvres ! Une chose est sûre et certaine, l’humanité est sérieusement malade. Elle est, d’abord et avant tout, malade de son espèce humaine dont les valeurs se résument pratiquement, incontestablement, aux cinq passions ou cinq péchés. À Savoir : la ‘‘luxure’’, la ‘‘rage’’, la ‘‘colère’’, la ‘‘cupidité’’ ou l’avidité matérielle, l’attachement et l’égo.
Poussée par son goût immodéré d’aventure et son esprit pathologique de conquête ou de domination, cette espèce humaine est, quotidiennement, portée à écraser sans états d’âme son semblable. Celui-ci est, pourtant, son propre reflet ou son propre miroir. Elle lui dénie, donc, tout droit fondamental et toute liberté essentielle. Force est de souligner que celle-ci lui dénie même le droit à la vie en tant que ‘‘bien le plus précieux généreusement offert par la Nature’’.
À ce propos, il convient de relever tout le discours macabre véhiculé par nombre d’adeptes de l’eugénisme très favorables à l’élimination physique de certaines collectivités humaines[i]. À l’appui de leurs phantasmes loufoques, tous ces groupes sont, en fait, présentés comme un fardeau extrêmement lourd au système de production économique et sociale. Ceux-ci sont, plutôt, jugés tout à fait inutiles au système de reproduction des espèces vivantes. À ce titre, ils ne mériteraient pratiquement point de jouir de la vie physique[ii].
Devraient normalement faire les frais d’une telle vision ou entreprise macabre les personnes considérées comme ‘‘pauvres[iii]’’. Encore faut-il réellement s’entendre sur ce que l’on qualifie très exactement de pauvreté[iv]. Cette masse immense d’individus, de surcroît, démunis et vulnérables sur toute la ligne devraient être rayés de la vie physique et de la cartographie mondiale par l’entremise des microorganismes meurtriers.
Il importe de souligner que tous ces agents hautement pathogènes de nature microbienne, bactérienne ou virale sont artificiellement fabriqués dans des laboratoires ‘‘High Tech’’. Pour les besoins de cette cause exterminatrice, ces vecteurs de transmission pathologique sont délibérément répandus dans des milieux régulièrement fréquentés par des êtres vivants, par vaporisation ou pulvérisation[v]. Ce qui, à coup sûr, a pour effet de transformer définitivement l’humanité vivante en un immense camp de la mort à ciel ouvert. Donc, l’humanité devient soudainement, du tac au tac, un véritable camp d’extermination dans le même style imaginé par les scientifiques nazis.
Aussi devraient-elles être soumises à ce régime évidemment mortifère les personnes âgées ou de troisième âge. Celles-ci sont considérées par les défenseurs de l’eugénisme comme un poids extrêmement lourd au régime de santé. Comme cette catégorie humaine n’est pas, par définition, productive selon leur vue étroite, son élimination physique passe, [contrairement aux pauvres ou miséreux contaminés par évaporation de l’air], par l’euthanasie. Aussi passe-t-elle par la vaccination ou la prise des médicaments dont l’objectif primordial est d’accélérer rapidement la déchéance physique de ce groupe humain en matière de santé.
La logique qui commande, indubitablement, cette mise à mort de ces entités humaines, est le rejet de tout principe de Solidarité. C’est le refus du partage en tant que valeur primordiale qui sustente toute société essentiellement fondée par les notions cardinales de compassion, de générosité, de charité et de dignité humaine. Bref l’Amour. C’est, en réalité, le reniement brutal du principe fondamental de ‘‘respect’’ et de ‘‘considération’’ de son prochain en tant qu’être vivant et sujet des droits économiques et sociaux.
Ce qui est clair, la logique qui commande à tout jamais la mort des collectivités humaines, est le rejet de l’altruisme qui amène l’humain à se mettre au service de ses pairs dans la société. C’est, plutôt, l’affirmation de l’égoïsme suicidaire qui amène directement l’humain à refuser de partager une richesse, fût-elle matérielle. Ceci vaut pour le sentiment nourri à l’égard des sans-rien ou sans-dents.
C’est, en fait, l’attestation de l’égoïsme destructeur qui pousse naturellement l’être humain à s’accaparer d’un bien matériel appartenant à autrui. Dans le cas spécifique des personnes âgées, il est question de subtiliser leurs cotisations sociales. En effet, il est plutôt question de détourner leurs retraites accumulées pendant leur séjour au profit d’une unité de production ou entreprise. À ce niveau, il s’agit, donc, de l’esprit de prédation ou de rapacité. Un esprit tout à fait subtil…
L’humanité est, également, malade de ses croyances spirituelles. Celles-ci ont réussi à diviser l’univers terrestre en moult zones d’influence religieuse qui sont autant de sources de conflit meurtrier que d’espaces d’exclusion physique des individus[vi]. Au lieu de prôner l’amour ou l’harmonie entre les différents humains, ces courants religieux encouragent manifestement la discorde. Cela entraîne que toutes ces disputes violentes ouvrent très largement la voie à la disharmonie. Il sied de mentionner que ces conflits religieux ne se situent point dans bien des cas sur le plan d’interprétation théologique mais plutôt sur le terrain culturel, coutumier ou traditionnel. C’est de cette façon que ces obédiences religieuses réussissent à provoquer à tout bout de champ la discrimination conflictuelle, à susciter l’intolérance violente, et à occasionner la haine meurtrière.
Même l’Occident chrétien qui s’est vraiment illustré après la deuxième guerre mondiale par la tolérance religieuse et idéologique, est rapidement tombé dans les travers de l’intolérance et de la discrimination[vii]. En effet, dans cette sphère de plus en plus aveuglée par l’intolérance religieuse et ostensiblement étranglée par des problèmes d’Apartheid socioéconomique, de cohabitation interculturelle, l’Humanité assiste quotidiennement à la montée en flèche de la haine du Juif (antisémitisme) et du Musulman (islamophobie). Y compris la haine viscérale du migrant (racisme, xénophobie). Dans bon nombre de cas, ce sentiment de rejet brutal du Juif, du Musulman, tout comme l’exclusion du migrant, est encouragé non seulement par des agrégats extrémistes[viii] mais aussi par bien des entreprises politiques ou des acteurs sociaux de premier plan[ix].
Cette situation cataclysmique entraîne souventes fois des dérapages indicibles qui se soldent par la profanation des lieux saints et, surtout, des atteintes directes à la vie physique. À ce propos, les attaques répétées contre les Mosquées et les Synagogues deviennent légion. Elles deviennent même une réalité normale qui n’offusque plus la Conscience universelle, quand bien même elles pourraient être de nature à provoquer des morts à une échelle industrielle.
Pourtant, les horreurs provoquées par toutes ces agressions ignobles devraient, en principe, constituer la préoccupation majeure de tout Citoyen promoteur du vivre-ensemble, épris de paix et d’harmonie. Que nenni ! Pour se dédouaner complètement de cette haine irréductible et mortelle de l’autre alimentée par des vecteurs chargés d’encadrer la multitude, l’Occident chrétien présente ces dérapages sordides encouragés par ses propres Institutions publiques et privées comme l’œuvre fatale des personnes atteintes de folie. C’est-à-dire : des détraqués mentaux, des manipulés ou des hypnotisés. Ce qui est, indéniablement, une façon habile de détourner cette question cruciale – [qui compromet naturellement le vivre-ensemble] – que de s’attaquer directement aux véritables problèmes, à leurs causes et conséquences néfastes.
Par ailleurs, l’humanité est malade de bien des dirigeants politiques et gouvernementaux qui provoquent, à n’en plus finir, des guerres meurtrières pour détruire des États et, par voie de conséquence, confisquer leurs richesses matérielles[x]. Dans le but de justifier leur entreprise criminelle, ceux-ci usent des artifices habilement maquillés sous le discours du changement démocratique et même habillés sous le discours de l’interventionnisme humanitaire. C’est, certes, l’exemple manifeste de la Libye devenue une véritable pétaudière depuis la fameuse intervention militaire de l’OTAN en 2011. C’est, également, le cas de l’Irak dont l’intégrité territoriale est dorénavant une simple vue de l’esprit. Se retrouve, sans nul doute, dans cette position de ‘‘déflagration’’ virulente et de ‘‘putrescence’’ avancée la Syrie de Bachar el-Assad transformée en champ de ruine et en véritable camp de la mort pour sa propre population.
En vérité, l’humanité est malade de son élite économique. Il est connu de tout le monde que celle-ci provoque, sans états d’âme, des conflits armés d’une barbarie indicible, partout sur la planète afin de confisquer les richesses minérales et les hydrocarbures. Elle rafle tous ces biens au détriment des populations locales et des collectivités étatiques[xi]. Ce comportement incivique et inacceptable est observé dans le chef des grands groupes industriels spécialisés aussi bien dans les mines que les hydrocarbures.
L’humanité est malade de tous ces experts commis au dégraissage des États et à la maîtrise de leurs dépenses publiques dans les organismes internationaux. Ceux-ci sont, en effet, recrutés pour mettre complètement à genoux des pays, entre autres ceux du Tiers-Monde. Toutes ces organisations mondiales font appel à leurs compétences techniques non pas pour éponger la totalité de leurs dettes extérieures mais, plutôt, pour les asphyxier sur les plans économique et social. L’exemple-type est en fait l’application de tristement célèbres programmes d’ajustement structurel (PAS) initiés depuis les années quatre-vingt-dix par les institutions de Breton Woods de 1944. Ceux-ci ont naturellement eu pour effet de provoquer artificiellement la misère et la pauvreté dans ces États fragiles.
L’humanité est malade de ses scientifiques qui ont vendu leur âme intellectuelle au pouvoir économique, financier et industriel dans l’unique but de financer leurs travaux de recherche. Pour bénéficier des subventions offertes par de grandes entreprises, ceux-ci prennent part à des études fantaisistes dont les résultats sont carrément biaisés ou délibérément faussés. Ce déviationnisme est perceptible dans les domaines de l’agroalimentaire ou agro-industrie en ce qui concerne les impacts des pesticides sur la santé humaine. Aussi est-il perceptible dans le domaine de l’environnement victime de toutes sortes de pollution : chimique, biologique, énergétique, etc.
L’humanité est malade de toutes ces technologies qui portent atteinte à l’intégrité physique et morale de l’humain. En quête constante du progrès, cet être est, en fait, obligé de trouver des solutions dans sa vie quotidienne pour être plus utile à sa communauté, plus performant dans ses réalisations, vivre dans le confort matériel et, surtout, optimiser ses connaissances intellectuelles tout comme son savoir scientifique. Force est d’admettre que cette dynamique de recherche permanente du bonheur, du progrès et du développement l’incite à s’équiper, à cet effet, de toute une série d’équipements matériels ou gadgets. Cette gadgétisation de la vie journalière le pousse, donc, à se doter d’un certain nombre d’outils ou d’appareils jugés, tout à fait, indispensables à sa sécurité, à sa formation, son confort, à sa santé, à son travail, etc.
N’empêche que la plupart de ces instruments ou équipements matériels présentés comme indispensables à l’humain, puisque participant à l’amélioration de sa vie physique, jouent en majeure partie contre sa propre santé. Ces outils ou équipements jouent, en réalité, contre la survie à moyen et long terme de son espèce vivante. À titre d’exemple, toutes les technologies qui émettent de puissantes ondes électromagnétiques[xii] affectent, indéniablement, la santé physique et morale de l’individu. Non seulement celles-ci perturbent brutalement le champ magnétique de l’humain mais encore agressent sauvagement tout le potentiel génétique de l’être au point de le rendre soit inefficace soit destructeur ou préjudiciable. Cette perspective ouvre, certes, un grand boulevard à des maladies incurables dont souffre malheureusement l’être humain[xiii].
L’humanité est pratiquement malade de l’assistanat humanitaire[xiv]. Il est de nos jours acquis que cette forme d’aide généralement recommandée, tout comme convoyée, par la fameuse Communauté internationale provoque à court et à moyen terme bien des dégâts imparables, entre autres dans le domaine ultrasensible de la santé humaine. En effet, il est, aujourd’hui, établi que la vaccination très fortement encouragée par les grandes instances internationales de la santé pour éradiquer la poliomyélite a provoqué des dizaines de milliers de décès voire même des centaines milliers de morts dans bon nombre de pays du Tiers-Monde dont l’Inde, le Pakistan ou le Nigeria[xv]. Ce qui constitue incontestablement une hécatombe.
À ce propos, la majorité des vaccins administrés aux plus jeunes enfants dans le dessein d’éradiquer des maladies qui handicapent leur croissance et compromettent leur devenir en tant qu’êtres, ont complètement anéanti des populations entières de petites filles incapables de supporter leur toxicité élevée. C’est-à-dire : ‘‘leur plus haut niveau de contamination en adjuvants soit chimiques, soit biologiques, soit immunologiques et activateurs’’.
Joël Asher Lévy-Cohen
Journaliste indépendant
www.joelasherlevycohen.centerblog.net
www.joelasherlevycohen.over-blog.com
[i] Les populations négro-africaines sont incluses dans cette catégorie d’individus. Ce phantasme fut largement nourri par le régime ségrégationniste sud-africain de Peter Botha et ses soutiens internationaux.
[ii] Ce droit le plus fondamental qu’est la vie, est par définition un cadeau inestimable puisqu’il y va même de la survie de l’espèce humaine. Celui-ci dérive, à vrai dire, de la magnanimité très caractéristique à la Providence. De ce fait, il mérite d’être ‘‘protégé’’ et ‘‘entretenu’’ sous peine d’extinction rapide.
[iii] Dans le monde contemporain, est pauvre dans la vie quotidienne le nécessiteux ou le démuni (celui qui manque pratiquement de tout) ou le misérable (celui qui ne peut malheureusement faire face à l’adversité ou à la dureté impitoyable de sa condition matérielle).
[iv] Pour le philosophe, dramaturge et homme politique romain du 1er siècle de notre ère commune, Lucius Annaeus Seneca (Sénèque), est pauvre, ce n’est vraiment pas celui qui n’a pas mais c’est plutôt celui qui dispose de beaucoup de biens matériels et, par le fait même, désire en avoir plus qu’il n’en possède.
[v] Il suffit simplement de respirer ou d’inhaler cet air infectieux pour être définitivement contaminé et développer à vive allure la maladie.
[vi] À titre d’exemple : la Birmanie avec la discrimination des ‘‘Rohingas’’ qui sont, en fait, des Bengali musulmans dont la présence sur le territoire et l’appartenance à la Nation sont rejetées par la majorité bouddhiste; le Sri Lanka confronté à la violente guerre civile entre ‘‘Bouddhistes’’ et ‘‘Hindous’’; la République populaire de Chine (RPC), d’obédience communiste, réputée mener une répression des plus musclée à l’endroit de ses minorités religieuses : les ‘‘Ouighours musulmans’’ et les ‘‘Tibétains bouddhistes’’; les luttes interconfessionnelles en Inde entre ‘‘Hindous’’ et ‘‘Musulmans’’, au Pakistan entre ‘‘Sunnites’’ et ‘‘Chiites’’ musulmans, le génocide des Yazidis par l'État islamique [ad-dawla al-islāmiyya (DAECH)] en Irak, le nettoyage ethnique des communautés juives et chrétiennes dans les pays arabo-musulmans, etc.
[vii] L’Europe est, aujourd’hui, gangrenée par le racisme dans le domaine du sport qui est pourtant censé rassembler les citoyens, favoriser la cohabitation interculturelle. En effet, lors de matchs de football (soccer), des partisans incontrôlés lancent des projectiles aux joueurs négro-africains. Ils interprètent des chansons dégradantes dans lesquelles ceux-ci sont dépeints en singes. Malgré des initiatives prises par les hautes instances sportives pour endiguer ce phénomène désastreux pour l’image du football, l’on assiste à une véritable épidémie raciste digne de l’époque nazie. Bien des fédérations footballistiques sont concernées au premier chef. À savoir : l’Allemagne, la Croatie, l’Espagne, l’Italie, la Pologne, etc.
[viii] Bien des groupes néonazis ou suprématistes, des mouvements foncièrement racistes, antisémites ou islamophobes s’abritent derrière les règles et libertés démocratiques en vue de répandre le venin de la haine meurtrière et le virus de l’intolérance violente au sein de la société.
[ix] Des chefs d’État et de gouvernement, occidentaux lato sensu ou européens stricto sensu, sont devenus, pour des raisons purement électoralistes que par simple conviction politique et idéologique, des ‘‘Apôtres’’ invétérés du racisme, des ‘‘Messagers’’ indécrottables de l’intolérance dans leurs propres sociétés. Comme quoi la fin justifie, selon Niccolò di Bernardo dei Machiavelli (Nicolas Machiavel), les moyens.
[x] En cette dernière décennie, ce comportement décrié s’est avéré sur toute la ligne une spécialité française, américaine et britannique.
[xi] L’exploitation des sites stratégiques accaparés par les Transnationales occidentales s’accompagne généralement de la contamination délibérée des localités où ils sont situés pour faire déguerpir les populations autochtones qui opposent une certaine résistance citoyenne.
[xii] La découverte de l’électricité a véritablement constitué un très grand avancement, si pas le plus grand progrès de l’histoire, pour l’humanité vivante. Il n’empêche que celle-ci a négativement contribué à l’affaiblissement du système immunitaire de l’individu. Aussi a-t-elle participé à la prolifération de nombreuses maladies cancérigènes qui tuent à petit feu cet être vivant.
[xiii] Les logements dans lesquels vivent, de nos jours, les humains sont, réellement, devenus des espaces d’agression violente du champ magnétique des êtres vivants en raison de la surconcentration des ondes électromagnétiques dans ces réduits. Celles-ci résultent immanquablement de l’usage de plusieurs appareils électriques ou électroniques.
[xiv] La finalité de l’action humanitaire permet normalement à l’humain de recouvrer toute sa dignité et, surtout, d’ouvrir une fenêtre de liberté pour son avenir.
[xv] La fameuse ‘‘Fondation Bill & Melinda Gates’’ chargée d’administrer le vaccin a été indexée en Inde et au Pakistan, selon des rapports visiblement officiels.