La pandémie du Coronavirus a nécessité la mise en place d'une politique de vaccination décidée par des gouvernements et des États du monde entier. En raison de motivations économiques et de contraintes sociales qui l'entourent, cette mesure vaccinale favorise les producteurs des vaccins aux dépens des populations dont les droits fondamentaux sont plus en plus érodés.
Le Combat contre le SARS - CoV - 2 engendre le retour en force de la tyrannie
‘‘Escroquerie’’ sanitaire et ‘‘imposture’’ vaccinale
Entre peurs et mensonges, invectives et menaces attentatoires aux droits humains fondamentaux et libertés publiques
‘‘Il n’y a point de cruelle tyrannie que celle que l’on s’exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice.’’ Montesquieu
Par Joël Asher Lévy-Cohen *
En septembre 2019, la République populaire de Chine manifestement aux prises avec toute une série de revendications d’ordre purement politique et démocratique à Hong-Kong, au Tibet, dans la province ouïgoure de Xinjiang, est réellement confrontée à la propagation d’un virus réputé nocif, dont les symptômes sévères s’apparentent naturellement à ceux de la grippe saisonnière. À savoir : ‘‘forte fièvre’’, ‘‘toux’’. À ceux-ci, il sied d’ajouter la ‘‘détresse respiratoire’’, le ‘‘hoquet’’ ou la contraction spasmodique du diaphragme, la ‘‘perte simultanée’’ du goût et de l’odorat, etc.
Dès décembre 2019, ce virus hautement pathogène, d’ailleurs identifié par des laboratoires réputés comme faisant intrinsèquement partie de la famille des Coronavirus, dont le point de diffusion est, bien entendu, l’Empire du Milieu, se propage à la vitesse de l’éclair. En un clin d’œil, il traverse le continent asiatique pour atteindre l’ensemble de l’humanité devenue pour la circonstance un vaste champ de bataille où l’on compte des morts comme des graines de cacahuètes ou des épis de blé. En 2020, cette situation on ne peut plus catastrophique suffit à elle seule à interpeller les autorités sanitaires mondiales qui, vu l’ampleur des dégâts humains causés par le virus mortel, décrètent une véritable guerre à la pandémie ayant des accents catastrophiques.
Cette déclaration de guerre inouïe se traduit concrètement sur le terrain des hostilités sanitaires par des mesures restrictives de liberté. Ces décisions sans nul doute extraordinaires depuis la fin de la IIe guerre mondiale se traduisent pratiquement par le respect de la distanciation physique d’au moins deux mètres entre deux individus, le confinement des populations entières, le port obligatoire du masque facial dans tout lieu de regroupement du public. Aussi se traduisent-elles pratiquement par l’entrave systématique et automatique aux libertés de circulation[i], de réunion[ii] et de commerce[iii].
Toutefois, ce qui est vraiment de nature à interpeller franchement la Conscience citoyenne, c’est le rôle pratiquement joué par la pandémie du coronavirus dans la gouvernance aussi bien mondiale qu’étatique. En effet, de nos jours, le commun des mortels assiste à la redéfinition complète de la mission fondamentale de ce qu’est véritablement un État. Cette entité publique plutôt censée normalement assurer la sécurité de l’ensemble de ses ressortissants dans un espace précis d’ailleurs qualifié de territoire est devenue très étroitement dépendante des organisations supranationales. Celles-ci lui imposent désormais toutes ses politiques publiques.
En réalité, les organisations internationales ou régionales se positionnent comme le seul et unique guichet par lequel passent dorénavant, sous peine de sanction, la très grande majorité des décisions étatiques qui s’imposent et s’appliquent directement aux Citoyen(ne)s. En matière de santé publique, c’est bel et bien l’exemple de l’Union européenne (UE). Cette organisation intervient directement dans la fixation des politiques sanitaires des États en achetant des médicaments et des vaccins pour les refiler immédiatement aux États membres.
Force est de constater que l’idée du ‘‘carnet’’ ou ‘‘passeport’’ vaccinal [Certificat COVID numérique de l’Union européenne (UE)] valable aussi bien pour voyager que pour accéder à bon nombre de services essentiels émane concrètement de cette institution supranationale. Celle-ci a été effectivement émise depuis le sommet du conseil de l’Union européenne de décembre 2018[iv]. C’est, en réalité, la pandémie du coronavirus ayant sévi à compter de l’année 2019 qui lui a permis de concrétiser cette procédure à l’échelle européenne et, donc, au travers des États membres.
S’agissant de l’imposition du vaccin pour circonscrire la pandémie du coronavirus, c’est en fait l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus que jamais financée par des organismes tiers – a fortiori des fondations privées – qui appuie ouvertement cette démarche spécifique. À l’échelle internationale, cette institution promeut cette idée au détriment des États qui envisagent de recourir à la médication traditionnelle pour combattre le coronavirus. ‘‘Ce qui est naturellement contraire à sa vocation’’, elle se permet d’accorder des certificats d’homologation des médicaments dans ce contexte purement pandémique en vue de décourager, en réalité, des initiatives de fabrication locale[v]. Il importe de relever que celles-ci échappent totalement au strict contrôle de grandes firmes pharmaceutiques (Big Pharma), par essence, grands bénéficiaires de cet environnement international ‘‘malsain’’ et ‘‘trouble’’.
Par ailleurs, cette fameuse pandémie du Coronavirus a très sensiblement modifié le rôle des États et gouvernements dans la protection de l’environnement social ou de l’univers sociétal. En effet, en matière socioéconomique, un État a pour mission primordiale de ‘‘définir un cadre qui favorise la prospérité et l’épanouissement de ses sujets’’ et, par voie de conséquence, ‘‘circonscrit la précarité, la misère ou la pauvreté’’. Il appert que les États et les gouvernants priorisent, d’abord et avant tout, la création d’entreprises pour générer des richesses. Ensuite, ils priorisent la création d’emplois en vue de diminuer de manière drastique ou éradiquer le chômage. Il sied de souligner que ce phénomène socioéconomique pèse très lourdement sur les dépenses publiques en termes de formation et de prise en charge des besoins sociaux de travailleurs.
Pourtant, les États et gouvernements du monde, dans l’espoir de freiner brutalement la progression fulgurante de la pandémie du Coronavirus et de circonscrire ses effets dévastateurs, procèdent sans broncher à la ‘‘fusillade’’ de l’économie. Ce ‘‘carnage’’ passe inéluctablement par la fermeture plus ou moins allongée de petits commerces et des sociétés de services. Ceux-ci sont, pourtant, vitaux pour les besoins quotidiens des consommateurs. Aussi ce massacre passe-t-il par la fermeture plus ou moins limitée de petites et moyennes entreprises dont le fonctionnement est capital pour le recrutement des travailleurs et l’acquittement des taxes fiscales et parafiscales, ainsi que le versement des charges sociales.
Ceci revient à dire très concrètement que les États et les gouvernements ont participé sciemment à la récession économique. Ils ont, donc, contribué, et ce de façon évidente, à l’inertie du marché économique. Aussi ont-ils participé à la raréfaction des biens de consommation, ainsi qu’à la raréfaction du travail.
Par ailleurs, dans l’intention d’inciter l’ensemble de la population à se faire vacciner, les États et gouvernants menacent, désormais, très ouvertement de ‘‘révocation’’ et même de ‘‘privation’’ absolue de revenus certaines catégories socioprofessionnelles qui prestent quotidiennement dans les services publics essentiels. À titre d’exemple : les secteurs hospitaliers, les services d’urgence et d’incendie, la fonction publique administrative et territoriale, etc. Appliquée dans toute sa rigueur, une telle décision a normalement pour effet de ruiner brutalement la vie des individus, de porter un sérieux coup de grâce aux rêves des ménages et, surtout, de gonfler drastiquement la population des demandeurs d’emploi.
Il convient de constater qu’une telle mesure provoque par la nature même de sa violence l’exclusion sociale, la désespérance par le biais de la misère, le truchement de l’appauvrissement et de la précarité avec son cortège de conséquences néfastes. Ce qui constitue véritablement un lourd poids pour l’entité étatique. Cela est d’autant plus vrai qu’un gouvernement sérieux et responsable, qui a naturellement réussi dans l’exercice de ses fonctions ou l’accomplissement de sa mission, est toujours jugé en fonction de sa capacité à juguler le ‘‘cancer’’ du chômage, à offrir de sérieuses perspectives de prospérité et d’épanouissement aux membres de la Collectivité publique. Or, dans le cas d’espèce, le gouvernant n’éprouve désormais aucune gêne ni aucune peur à créer pratiquement des conditions optimales de marginalisation de sa propre population. Ce qui dénote, en réalité, un grand changement dans la définition et l’interprétation mêmes de la mission d’un État.
En d’autres termes, dans le contexte pandémique du Coronavirus, le rôle substantiel de l’État s’est complètement métamorphosé. Celui-ci se résume pratiquement au mensonge[vi]. Il se réduit concrètement aux menaces ouvertes et non plus aux menaces à peine voilées. Par voie de conséquence, gouverner, c’est rien de moins que ‘‘menacer’’ des représailles la population et ‘‘opprimer’’ les Citoyens. C’est mentir à sa population tous azimuts. C’est mentir à longueur de journée en utilisant ad nauseam tout outil de communication, c’est-à-dire tout instrument de diffusion de l’information. C’est faire littéralement preuve de ‘‘dictatorship[vii]’’. Ceci dans la mesure où les États ont appris à détourner l’attention de leurs populations respectives, et les gouvernements à improviser en disant à leurs ressortissants ‘‘tout et son contraire[viii]’’.
Gouverner, c’est faire dorénavant de l’État un jouet aux seules mains de puissances financières et économiques. En réalité, le leadership gouvernemental consiste à suivre la voie toute tracée par le privé qui exploite les ressources collectives au profit de la logique mercantiliste. Gouverner, c’est faire de la population pourtant au cœur de la démocratie un simple consommateur des biens autant économiques et sociaux que politiques et culturels.
Joël Asher Lévy-Cohen
Journaliste indépendant
www.joelasherlevycohen.centerblog.net
www.joelasherlevycohen.over-blog.com
www.joelasherlevycohen1.wordpress.com
[i] Le couvre-feu est décrété par les gouvernants la nuit pour circonscrire la circulation du virus. Par contre, pendant cette période de restriction, les humains ne peuvent circuler que moyennant la présentation d’un laisser-passer dûment délivré par une autorité compétente pour des raisons entre autres professionnelles.
[ii] Nombre de services publics et administratifs nécessitant l’accueil des usagers demeurent, cependant, complètement fermés. Ceux-ci peuvent continuer à remplir leurs mandats via la toile Internet. On assiste, par conséquent, à l’explosion des services Online. Le nombre de personnes assistant à un rassemblement ou une réunion est restreint. Les familles ne peuvent plus recevoir de la visite de la part de leurs membres biologiques ou de leurs voisins ou relations amicales.
[iii] Sauf exception, deux membres d’une même famille ne peuvent fréquenter au même moment un commerce, d’ailleurs, assujetti à la restriction règlementaire du nombre de clients. De petites entreprises généralement de type autant familial que personnel sont condamnées à fermer rapidement leurs portes. Parmi celles-ci, on cite les restaurateurs, les salons de coiffure ou de massage. Des entreprises culturelles souffrent aussi de toutes ces mesures drastiques. Il importe de mentionner à ce propos les bibliothèques, les cinémathèques, etc.
[iv] Recommandation du Conseil de l’Union européenne du 7 décembre 2018 relative au renforcement de la coopération contre les maladies à prévention vaccinale. Voir Journal officiel de l’Union européenne du 28 décembre 2018.
[v] L’OMS a définitivement rejeté l’initiative de bon nombre de pays africains chargés de promouvoir des médicaments à base de racines et plantes d’Artemisia supposément efficaces contre le SARS - CoV - 2. Ce qui ouvrait largement la voie royale à la promotion des vaccins dans cette partie du monde, contrairement aux solutions médicamenteuses mettant en avant la chloroquine ou la molécule d’hydroxychloroquine.
[vi] Les gouvernants contraignent la population globale à la vaccination définie comme la seule et unique garantie au freinage de la contamination. Dans cette obligation, comment convaincre effectivement les non-vaccinés que le vaccin fonctionne parfaitement et qu’il réduit drastiquement les risques de contamination et d’hospitalisation, d’un côté ? De l’autre, comment convaincre les vaccinés que le vaccin booste réellement le système immunitaire et qu’il n’occasionne point la baisse rapide des anticorps en vue de freiner la contagion ?
[vii] Imposer sa volonté ou celle des intérêts corporatifs au détriment des intérêts collectifs ou des intérêts du sanctuaire national.
[viii] Avant de revenir de manière spectaculaire sur leurs déclarations mensongères concernant le port du masque, le confinement général ou partiel de la population, l’obligation vaccinale et le carnet vaccinal, les États et gouvernements avaient préalablement affirmé qu’ils n’imposeraient pas obligatoirement de masque, de politique de vaccination globale, de mise en quarantaine de la population, de vaccination ou de passeport sanitaire.