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Analyse et commentaires des faits politiques, économiques, sociaux et culturels


Le Combat contre le SARS - CoV - 2 engendre le retour en force de la tyrannie

Publié par Joël Asher Lévy-Cohen sur 6 Décembre 2021, 18:14pm

La pandémie du Coronavirus a nécessité la mise en place d'une politique de vaccination décidée par des gouvernements et des États du monde entier. En raison de motivations économiques et de contraintes sociales qui l'entourent, cette mesure vaccinale favorise les producteurs des vaccins aux dépens des populations dont les droits fondamentaux sont plus en plus érodés.

La pandémie du Coronavirus a nécessité la mise en place d'une politique de vaccination décidée par des gouvernements et des États du monde entier. En raison de motivations économiques et de contraintes sociales qui l'entourent, cette mesure vaccinale favorise les producteurs des vaccins aux dépens des populations dont les droits fondamentaux sont plus en plus érodés.

Le Combat contre le SARS - CoV - 2 engendre le retour en force de la tyrannie

Pour circonscrire la circulation du covid - 19, les États ont décidé le port obligatoire du masque. Cette décision s'accompagne de la mesure de distanciation physique de deux mètres séparant deux interlocuteurs ou deux personnes.

‘‘Escroquerie’’ sanitaire et ‘‘imposture’’ vaccinale

Entre peurs et mensonges, invectives et menaces attentatoires aux droits humains fondamentaux et libertés publiques

‘‘Il n’y a point de cruelle tyrannie que celle que l’on s’exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice.’’ Montesquieu

Par Joël Asher Lévy-Cohen *

En septembre 2019, la République populaire de Chine manifestement aux prises avec toute une série de revendications d’ordre purement politique et démocratique à Hong-Kong, au Tibet, dans la province ouïgoure de Xinjiang, est réellement confrontée à la propagation d’un virus réputé nocif, dont les symptômes sévères s’apparentent naturellement à ceux de la grippe saisonnière. À savoir : ‘‘forte fièvre’’, ‘‘toux’’. À ceux-ci, il sied d’ajouter la ‘‘détresse respiratoire’’, le ‘‘hoquet’’ ou la contraction spasmodique du diaphragme, la ‘‘perte simultanée’’ du goût et de l’odorat, etc.

D'après des sources médicales, le Covid - 19 a pris son essor d'un laboratoire P4 de Wuhan, en République populaire de Chine. Ce laboratoire manipule des agents pathogènes hautement toxiques.

Dès décembre 2019, ce virus hautement pathogène, d’ailleurs identifié par des laboratoires réputés comme faisant intrinsèquement partie de la famille des Coronavirus, dont le point de diffusion est, bien entendu, l’Empire du Milieu, se propage à la vitesse de l’éclair. En un clin d’œil, il traverse le continent asiatique pour atteindre l’ensemble de l’humanité devenue pour la circonstance un vaste champ de bataille où l’on compte des morts comme des graines de cacahuètes ou des épis de blé. En 2020, cette situation on ne peut plus catastrophique suffit à elle seule à interpeller les autorités sanitaires mondiales qui, vu l’ampleur des dégâts humains causés par le virus mortel, décrètent une véritable guerre à la pandémie ayant des accents catastrophiques.

La très grande particularité des coronavirus est de subir des mutations à chaque étape de leur évolution infectieuse. Après le variant Delta originaire du sous-continent indien, c'est au tour du variant de l'Afrique australe Omicron d'inquiéter outre-mesure les services de santé publique à l'échelle internationale.

Cette déclaration de guerre inouïe se traduit concrètement sur le terrain des hostilités sanitaires par des mesures restrictives de liberté. Ces décisions sans nul doute extraordinaires depuis la fin de la IIe guerre mondiale se traduisent pratiquement par le respect de la distanciation physique d’au moins deux mètres entre deux individus, le confinement des populations entières, le port obligatoire du masque facial dans tout lieu de regroupement du public. Aussi se traduisent-elles pratiquement par l’entrave systématique et automatique aux libertés de circulation[i], de réunion[ii] et de commerce[iii].

Le plus grand défi auquel sont confrontés les États et gouvernements dans la gestion du Coronavirus, est la baisse de contaminations suivie de la baisse d'hospitalisations. Ce qui pourrait, naturellement, soulager les réseaux de la santé publique déjà au bord de l'explosion.

Toutefois, ce qui est vraiment de nature à interpeller franchement la Conscience citoyenne, c’est le rôle pratiquement joué par la pandémie du coronavirus dans la gouvernance aussi bien mondiale qu’étatique. En effet, de nos jours, le commun des mortels assiste à la redéfinition complète de la mission fondamentale de ce qu’est véritablement un État. Cette entité publique plutôt censée normalement assurer la sécurité de l’ensemble de ses ressortissants dans un espace précis d’ailleurs qualifié de territoire est devenue très étroitement dépendante des organisations supranationales. Celles-ci lui imposent désormais toutes ses politiques publiques.

En réalité, les organisations internationales ou régionales se positionnent comme le seul et unique guichet par lequel passent dorénavant, sous peine de sanction, la très grande majorité des décisions étatiques qui s’imposent et s’appliquent directement aux Citoyen(ne)s. En matière de santé publique, c’est bel et bien l’exemple de l’Union européenne (UE). Cette organisation intervient directement dans la fixation des politiques sanitaires des États en achetant des médicaments et des vaccins pour les refiler immédiatement aux États membres.

Pour contrecarrer la libre circulation du Covid - 19, les États relayés par des gouvernements fort préoccupés par la paralysie des services de santé publique ont entrepris la mise en place du passeport sanitaire. Cette mesure phare permet de suivre à la trace la mobilité des vaccinés et de circonscrire le déplacement des non-vaccinés.

Force est de constater que l’idée du ‘‘carnet’’ ou ‘‘passeport’’ vaccinal [Certificat COVID numérique de l’Union européenne (UE)] valable aussi bien pour voyager que pour accéder à bon nombre de services essentiels émane concrètement de cette institution supranationale. Celle-ci a été effectivement émise depuis le sommet du conseil de l’Union européenne de décembre 2018[iv]. C’est, en réalité, la pandémie du coronavirus ayant sévi à compter de l’année 2019 qui lui a permis de concrétiser cette procédure à l’échelle européenne et, donc, au travers des États membres.

Lorsque le Coronavirus a commencé à sévir au début de l'année 2020, les autorités administratives et sanitaires des États de la planète n'avaient pas jugé bon d'imposer le masque facial alors que l'urgence médicale le recommandait très largement. Toutefois, confrontées à la flambée inarrêtable de la contagion, elles finirent par se raviser et prescrire le port du masque sanitaire.

S’agissant de l’imposition du vaccin pour circonscrire la pandémie du coronavirus, c’est en fait l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus que jamais financée par des organismes tiers – a fortiori des fondations privées – qui appuie ouvertement cette démarche spécifique. À l’échelle internationale, cette institution promeut cette idée au détriment des États qui envisagent de recourir à la médication traditionnelle pour combattre le coronavirus. ‘‘Ce qui est naturellement contraire à sa vocation’’, elle se permet d’accorder des certificats d’homologation des médicaments dans ce contexte purement pandémique en vue de décourager, en réalité, des initiatives de fabrication locale[v]. Il importe de relever que celles-ci échappent totalement au strict contrôle de grandes firmes pharmaceutiques (Big Pharma), par essence, grands bénéficiaires de cet environnement international ‘‘malsain’’ et ‘‘trouble’’.

la production des vaccins à l'échelle internationale est devenue un enjeu de lutte contre la propagation rapide et incontrôlée des virus dans les communautés humaines aussi bien les plus exposées que les plus épargnées.

Par ailleurs, cette fameuse pandémie du Coronavirus a très sensiblement modifié le rôle des États et gouvernements dans la protection de l’environnement social ou de l’univers sociétal. En effet, en matière socioéconomique, un État a pour mission primordiale de ‘‘définir un cadre qui favorise la prospérité et l’épanouissement de ses sujets’’ et, par voie de conséquence, ‘‘circonscrit la précarité, la misère ou la pauvreté’’. Il appert que les États et les gouvernants priorisent, d’abord et avant tout, la création d’entreprises pour générer des richesses. Ensuite, ils priorisent la création d’emplois en vue de diminuer de manière drastique ou éradiquer le chômage. Il sied de souligner que ce phénomène socioéconomique pèse très lourdement sur les dépenses publiques en termes de formation et de prise en charge des besoins sociaux de travailleurs.

La mesure de confinement a poussé bien des individus à la dépression nerveuse et au suicide.

Pourtant, les États et gouvernements du monde, dans l’espoir de freiner brutalement la progression fulgurante de la pandémie du Coronavirus et de circonscrire ses effets dévastateurs, procèdent sans broncher à la ‘‘fusillade’’ de l’économie. Ce ‘‘carnage’’ passe inéluctablement par la fermeture plus ou moins allongée de petits commerces et des sociétés de services. Ceux-ci sont, pourtant, vitaux pour les besoins quotidiens des consommateurs. Aussi ce massacre passe-t-il par la fermeture plus ou moins limitée de petites et moyennes entreprises dont le fonctionnement est capital pour le recrutement des travailleurs et l’acquittement des taxes fiscales et parafiscales, ainsi que le versement des charges sociales.

Ceci revient à dire très concrètement que les États et les gouvernements ont participé sciemment à la récession économique. Ils ont, donc, contribué, et ce de façon évidente, à l’inertie du marché économique. Aussi ont-ils participé à la raréfaction des biens de consommation, ainsi qu’à la raréfaction du travail.

Pour accéder sans contrainte au lieu du travail, les employé(e)s doivent impérativement prouver qu'ils (elles) ne sont pas tout à fait contaminé(e)s. Ils (elles) doivent démontrer qu'ils (elles) sont titulaires d'un passeport vaccinal ou, le cas échéant, satisfaire aux conditions des tests sanitaires.

Par ailleurs, dans l’intention d’inciter l’ensemble de la population à se faire vacciner, les États et gouvernants menacent, désormais, très ouvertement de ‘‘révocation’’ et même de ‘‘privation’’ absolue de revenus certaines catégories socioprofessionnelles qui prestent quotidiennement dans les services publics essentiels. À titre d’exemple : les secteurs hospitaliers, les services d’urgence et d’incendie, la fonction publique administrative et territoriale, etc. Appliquée dans toute sa rigueur, une telle décision a normalement pour effet de ruiner brutalement la vie des individus, de porter un sérieux coup de grâce aux rêves des ménages et, surtout, de gonfler drastiquement la population des demandeurs d’emploi.

Sous peine de sanction contraignante, l'obligation vaccinale vise les professionnels de la santé ou les corporations médicales

Il convient de constater qu’une telle mesure provoque par la nature même de sa violence l’exclusion sociale, la désespérance par le biais de la misère, le truchement de l’appauvrissement et de la précarité avec son cortège de conséquences néfastes. Ce qui constitue véritablement un lourd poids pour l’entité étatique. Cela est d’autant plus vrai qu’un gouvernement sérieux et responsable, qui a naturellement réussi dans l’exercice de ses fonctions ou l’accomplissement de sa mission, est toujours jugé en fonction de sa capacité à juguler le ‘‘cancer’’ du chômage, à offrir de sérieuses perspectives de prospérité et d’épanouissement aux membres de la Collectivité publique. Or, dans le cas d’espèce, le gouvernant n’éprouve désormais aucune gêne ni aucune peur à créer pratiquement des conditions optimales de marginalisation de sa propre population. Ce qui dénote, en réalité, un grand changement dans la définition et l’interprétation mêmes de la mission d’un État.

L'obligation vaccinale concerne également tout service qui transige ou interagit avec le grand public. À titre d'exemple, les sapeurs-pompiers.

En d’autres termes, dans le contexte pandémique du Coronavirus, le rôle substantiel de l’État s’est complètement métamorphosé. Celui-ci se résume pratiquement au mensonge[vi]. Il se réduit concrètement aux menaces ouvertes et non plus aux menaces à peine voilées. Par voie de conséquence, gouverner, c’est rien de moins que ‘‘menacer’’ des représailles la population et ‘‘opprimer’’ les Citoyens. C’est mentir à sa population tous azimuts. C’est mentir à longueur de journée en utilisant ad nauseam tout outil de communication, c’est-à-dire tout instrument de diffusion de l’information. C’est faire littéralement preuve de ‘‘dictatorship[vii]’’. Ceci dans la mesure où les États ont appris à détourner l’attention de leurs populations respectives, et les gouvernements à improviser en disant à leurs ressortissants ‘‘tout et son contraire[viii]’’.

Les trop fortes contraintes liées à l'obligation vaccinale pourraient à terme conduire à l'exaspération des pans entiers de la population et au durcissement des revendications sociales. Ce qui pourrait polluer l'atmosphère collective.

Gouverner, c’est faire dorénavant de l’État un jouet aux seules mains de puissances financières et économiques. En réalité, le leadership gouvernemental consiste à suivre la voie toute tracée par le privé qui exploite les ressources collectives au profit de la logique mercantiliste. Gouverner, c’est faire de la population pourtant au cœur de la démocratie un simple consommateur des biens autant économiques et sociaux que politiques et culturels.

Joël Asher Lévy-Cohen

Journaliste indépendant

joelasherlevy@aol.com

www.joelasherlevycohen.centerblog.net

www.joelasherlevycohen.over-blog.com

www.joelasherlevycohen1.wordpress.com

 

[i] Le couvre-feu est décrété par les gouvernants la nuit pour circonscrire la circulation du virus. Par contre, pendant cette période de restriction, les humains ne peuvent circuler que moyennant la présentation d’un laisser-passer dûment délivré par une autorité compétente pour des raisons entre autres professionnelles.

[ii] Nombre de services publics et administratifs nécessitant l’accueil des usagers demeurent, cependant, complètement fermés. Ceux-ci peuvent continuer à remplir leurs mandats via la toile Internet. On assiste, par conséquent, à l’explosion des services Online. Le nombre de personnes assistant à un rassemblement ou une réunion est restreint. Les familles ne peuvent plus recevoir de la visite de la part de leurs membres biologiques ou de leurs voisins ou relations amicales.

[iii] Sauf exception, deux membres d’une même famille ne peuvent fréquenter au même moment un commerce, d’ailleurs, assujetti à la restriction règlementaire du nombre de clients. De petites entreprises généralement de type autant familial que personnel sont condamnées à fermer rapidement leurs portes. Parmi celles-ci, on cite les restaurateurs, les salons de coiffure ou de massage. Des entreprises culturelles souffrent aussi de toutes ces mesures drastiques. Il importe de mentionner à ce propos les bibliothèques, les cinémathèques, etc.

[iv] Recommandation du Conseil de l’Union européenne du 7 décembre 2018 relative au renforcement de la coopération contre les maladies à prévention vaccinale. Voir Journal officiel de l’Union européenne du 28 décembre 2018.

[v] L’OMS a définitivement rejeté l’initiative de bon nombre de pays africains chargés de promouvoir des médicaments à base de racines et plantes d’Artemisia supposément efficaces contre le SARS - CoV - 2. Ce qui ouvrait largement la voie royale à la promotion des vaccins dans cette partie du monde, contrairement aux solutions médicamenteuses mettant en avant la chloroquine ou la molécule d’hydroxychloroquine.

[vi] Les gouvernants contraignent la population globale à la vaccination définie comme la seule et unique garantie au freinage de la contamination. Dans cette obligation, comment convaincre effectivement les non-vaccinés que le vaccin fonctionne parfaitement et qu’il réduit drastiquement les risques de contamination et d’hospitalisation, d’un côté ? De l’autre, comment convaincre les vaccinés que le vaccin booste réellement le système immunitaire et qu’il n’occasionne point la baisse rapide des anticorps en vue de freiner la contagion ?

[vii] Imposer sa volonté ou celle des intérêts corporatifs au détriment des intérêts collectifs ou des intérêts du sanctuaire national.

[viii] Avant de revenir de manière spectaculaire sur leurs déclarations mensongères concernant le port du masque, le confinement général ou partiel de la population, l’obligation vaccinale et le carnet vaccinal, les États et gouvernements avaient préalablement affirmé qu’ils n’imposeraient pas obligatoirement de masque, de politique de vaccination globale, de mise en quarantaine de la population, de vaccination ou de passeport sanitaire.

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