Jean-Marc Kabund a Kabund a été le tout-puissant secrétaire général de l'Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) en République démocratique du Congo (RDC). Surnommé ''Maître-nageur'' par les Combattants du parti pour avoir promis de faire traverser à la nage le fleuve Congo les ennemis de la démocratie et du Peuple congolais (les partisans de Joseph Kabila Kabange), ce personnage atrabilaire fut nommé à ce poste stratégique par nul autre que le défunt président national Étienne Tshisekedi wa Mulumba. À son actif, et sous sa gouverne, le parti a conquis haut la main la présidence du pays lors du scrutin présidentiel de 2018. Toutefois, Jean-Marc Kabund a Kabund est tombé en disgrâce en raison de son impulsivité caractérielle et de son arrogance politique.
L’UDPS engloutit Kabund a Kabund
Au cours du mois de janvier 2022, le 1er vice-président de l’Assemblée nationale de la République démocratique du Congo, Jean-Marc Kabund a Kabund, alias ‘‘Maître-nageur’’ pour avoir menacé de faire traverser à la nage le fleuve Congo les partisans de Joseph Kabila Kabange pour leur malice à bloquer l’action politique de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo (FATSHI), circule dans la capitale Kinshasa. Sa suite croise par hasard sur son chemin un véhicule immatriculé de la présidence de la République. Celui-ci transporte la nièce du chef de l’État dont la protection rapprochée est assurée, pour la circonstance, par un membre armé de la garde présidentielle.
Cette voiture à bord duquel se trouve effectivement la nièce du président de la République roule, plutôt, en sens inverse. En fait, elle circule sur une route dont le sens est normalement unique. Ce qui est littéralement de nature à perturber la circulation automobile déjà engorgée. De plus, le véhicule contrevenant au code de la route exige qu’on lui ouvre impérativement une voie prioritaire pour se rendre rapidement à destination.
Cette situation intenable interpelle illico presto l’intrépide Jean-Marc Kabund a Kabund au point d’ordonner à sa garde rapprochée d’arraisonner le véhicule présidentiel. Il s’ensuit une rixe verbale entre les policiers commis à la garde du 1er vice-président de l’Assemblée nationale et le garde républicain qui assure la sécurité physique de la nièce du président de la République. Dans cette ambiance électrique, les gardes du corps de Kabund arrachent violemment l’arme de service, d’ailleurs, utilisée par cet élément de la garde présidentielle qui n’était même pas au volant de la fameuse automobile incriminée. Malgré cette confusion, cette cacophonie qui, vraisemblablement, aurait pu mal tourner, il n’y a pratiquement pas eu d’échange des coups de feu.
Toutefois, cette altercation tout à fait digne d’un film d’Hollywood n’est pas évidemment restée sans conséquence fâcheuse. En effet, la résidence personnelle de Kabund a reçu, dans les heures suivantes, la visite musclée des reîtres. Cette villa cossue a été copieusement saccagée. Les images de destruction rappellent, à cet effet, le passage impitoyable d’un ouragan dévastateur. Vécu dans sa chair comme une mesure de représailles, cet incident le pousse à décréter sur les réseaux sociaux son retrait de l’UDPS. Il le conduit même à annoncer urbi et orbi sa démission fracassante du bureau de l’Assemblée nationale.
Considérant que, dans ces circonstances houleuses, Jean-Marc Kabund a Kabund a totalement fait preuve de manque criant de jugement et, surtout, de comportement indigne du parti présidentiel, les militants de l’UDPS exaspérés par son manque de leadership, écœurés par son ‘‘embourgeoisement’’ ultrarapide et les frasques de sa vie personnelle, décident de son éjection du parti. Ce qui est finalement entériné et même acté par la commission de discipline du parti lorsque ce président ad interim tente par des entourloupes de rétropédaler. Ainsi prend fin, dans une atmosphère de révolte politique et militante, dans une ambiance de rejet sans concession, la brusque et rapide ascension du tout dernier secrétaire général de l’UDPS, personnellement nommé par le défunt père de la démocratie congolaise Étienne Tshisekedi wa Mulumba.
Jean-Marc Kabund a Kabund défenestré brutalement de l’UDPS
Totalement affaibli par la vague de mécontentement des militants et sympathisants du parti, le Maître-nageur se noie imprudemment dans le fleuve de l’inconscience idéologique et de l’arrogance politique
‘‘L’arrogance précède la ruine, et l’orgueil précède la chute.’’ Proverbes 16 : 18
Par Joël Asher Lévy-Cohen *
Jean Marc Kabund a Kabund est le président ad interim (a.i.) de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Parti cher au feu Étienne Tshisekedi wa Mulumba[i]. Il occupe normalement ce poste dès que le fils du sphinx de Limete, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo (FATSHI), est confirmé président de la République démocratique du Congo (RDC) par la grâce du plus haut tribunal constitutionnel du pays. En dehors de cette occupation politique et administrative au sein des instances partisanes, il est également un haut dignitaire de l’État congolais.
En effet, Jean-Marc Kabund a Kabund fait partie intégrante du bureau de l’Assemblée nationale. En raison du poids politique de l’UDPS au sein de la coalition gouvernementale (parti présidentiel), il y est catapulté 1er vice-président chargé des questions diplomatiques. Par conséquent, ce grand gabarit politique fait éminemment de lui un homme public aux pouvoirs incommensurables. Cela est d’autant plus vrai qu’il est à la tête d’un parti dominant de la vie politique du pays, d’une part. Et, d’autre part, au sein de cette instance parlementaire, il incarne le discours diplomatique de la Représentation nationale.
Cette double casquette fait incontestablement de Jean-Marc Kabund a Kabund non seulement un plus haut personnage de la République démocratique du Congo mais aussi un virtuel candidat à l’élection présidentielle, bien entendu à défaut de la candidature de l’actuel locataire du Palais de la Nation. Toutefois, l’intéressé qui a visiblement sur le terrain l’art de se faire plein d’ennemis, ne sait véritablement pas attendre son heure. Il ne sait pas faire du temps son allié indéfectible afin de mieux bondir et, par voie de conséquence, occuper à tout jamais l’espace politique.
Ce qui est absolument sûr, Jean-Marc Kabund a Kabund est fort connu pour son impulsivité. Ses sautes d’humeur lui jouent très souvent de vilains tours. La conflictualité fait partie intégrante de son ADN. Toutefois, s’il y a une qualité que lui reconnaissent sans nul conteste ses adversaires et ses ennemis, l’homme est un guerrier intrépide. Il rugit comme un lion. Il terrorise son entourage.
À voir son comportement politique, l’on peut se poser la question de savoir si l’individu maîtrise parfaitement les ficelles de la diplomatie et les arcanes de la politique. A-t-il véritablement le sens de la mesure ? Il est un fait que celui-ci est absolument un fonceur-né. Il n’a visiblement peur de rien. Par conséquent, calcule-t-il ses agissements ? Mesure-t-il la portée de ses actes ? Évalue-t-il ses actions politiques ? En effet, celles-ci peuvent lui être totalement, résolument, suicidaires. Elles peuvent sans l’ombre d’un doute le condamner au pilori. Elles peuvent, surtout, le crucifier sur la place publique.
C’est ce qui est finalement arrivé au ‘‘rebelle’’ Jean-Marc Kabund a Kabund. En effet, ce plus haut personnage de l’État congolais n’a vraiment jamais pris la mesure de ses fonctions au sommet des institutions nationales. Celui-ci a toujours continué à se comporter comme un militant de terrain violemment confronté à une tyrannie d’une république bananière. Il s’est toujours comporté sur le terrain comme un activiste de l’opposition. À dire vrai, il n’a jamais quitté ses habits d’opposant. Il ne s’est jamais comporté comme une autorité établie, d’ailleurs consciente de ses responsabilités.
Dans la vie quotidienne, il arrive fort aisément au ‘‘Maître-nageur’’ Jean-Marc Kabund a Kabund d’oublier carrément qu’il est un membre éminent et influent du bureau de l’Assemblée nationale. Vu son plus haut rang, il se doit d’observer une certaine retenue. Eu égard à ses fonctions. Malgré sa position stratégique et sociopolitique, il trouve toujours un moyen de confondre tout bêtement son rôle. Il trouve toujours un moyen de rabaisser sa mission de digne Représentant de la Nation.
En effet, Jean-Marc Kabund a Kabund s’est rendu, et ce plus d’une fois, coupable d’usurpation de fonction policière. Pendant qu’il siège en tant que député à l’Assemblée nationale et même occupe les hautes fonctions de 1er vice-président du Bureau, ce tonitruant et fantasque personnage est devenu ‘‘agent de police dont la noble mission est de réguler la circulation automobile en cas d’énormes bouchons dans la capitale’’. Pis, il s’est même improvisé, comme il en a seul le secret, ‘‘membre de la police militaire de l’armée nationale chargée – [excusez du peu] – de non seulement mettre aux arrêts mais surtout de désarmer un militaire indélicat et coupable de violation du code de la route’’.
Cette attitude désinvolte qui, bien entendu, consiste dans les faits à outrepasser ses droits, prouve à suffisance que Jean-Marc Kabund a Kabund n’a vraiment jamais compris ni maîtrisé le concept fondamental de l’État de droit démocratique. En effet, qui dit ‘‘État de droit démocratique’’, dit ‘‘respect scrupuleux de la loi et des règlements de l’État’’, d’une part. Et, d’autre part, l’État de droit démocratique s’appuyant sur le principe cardinal de ‘‘liberté’’, implique forcément et logiquement le respect des limites. Elle implique la limitation du droit, la notion de borne appliquée au pouvoir.
Dans un État de droit démocratique, le pouvoir est certes fort mais il n’est point absolu. Il lui est matériellement assigné par la loi fondamentale des bornes pour ne pas effectivement mettre en péril la sécurité des personnes et des biens, la sécurité collective. Il lui est infligé des limites pour ne pas totalement sacrifier les libertés autant individuelles que publiques.
Cette lecture intelligente et sage a nécessairement manqué à Jean-Marc Kabund a Kabund. Cette perspective ou cette vision d’État de droit démocratique qui ne tolère point l’illégalité, qui impose des limites précises aussi bien aux Citoyens qu’aux dirigeants, lui a complètement fait défait dans la mesure où, pour lui, ‘‘la politique est un terrain de jeu où tout le monde – acteurs et spectateurs – est appelé – indépendamment des circonstances – à faire respecter le droit, peut soi-même se faire justice’’. Ce qui n’est pas forcément le cas. En démocratie, s’il est, en effet, reconnu en cas de violation de loi ou de règlement à un Citoyen le droit d’appréhender le fautif et de le remettre aux autorités publiques établies, il ne lui est, par contre, pas reconnu de séquestrer le délinquant ou de se faire justice au nom de la société[ii]. Ceci est plutôt le devoir tant formel que matériel soit de l’autorité policière soit de l’autorité judiciaire.
Par ailleurs, Jean-Marc Kabund a Kabund a toujours confondu la notion de Représentant de la loi au sein de la société à sa mission de Représentant de la Nation au sein de l’instance parlementaire. Un Représentant de la loi et de l’ordre n’est pas un Représentant de la Nation. Sa mission consiste à faire respecter les normes édictées par l’État pour sauvegarder les droits et libertés des Citoyens et, par conséquent, protéger la sécurité collective, assurer pleinement l’harmonie de la collectivité publique. Il lui est exigé d’exercer cette lourde charge avec ‘‘probité’’ et ‘‘professionnalisme’’. Il lui est demandé d’accomplir sa fonction avec ‘‘intégrité’’ et ‘‘honnêteté’’. À cet égard, en tant qu’agent certifié de l’État[iii], il n’est pas du tout couvert par le bouclier d’une quelconque ‘‘immunité’’.
Le Représentant de la Nation est plutôt chargé d’adopter des lois au nom du seul Peuple souverain. Pour ce faire, il est délégué par le Citoyen en vue d’accomplir cette tâche fondamentale. Dans sa mission, il bénéficie de l’immunité. Cette carapace juridique et constitutionnelle le couvre pendant l’exercice de sa fonction. Elle peut être levée ou ôtée dans des cas bien spécifiques.
Pour Jean-Marc Kabund a Kabund, un député est un ‘‘Représentant de la Nation’’. Ce personnage de l’État est, également, par extension un Représentant de la loi. En tant que géniteur des normes de l’État, il lui appartient de faire respecter strictement ces règles à quiconque les enfreint. Y compris les imposer à des autorités publiques légitimement établies.
Avec cette interprétation biaisée du rôle des autorités nationales aux pouvoirs illimités, Jean-Marc Kabund a Kabund fait immédiatement retourner l’actuelle République démocratique du Congo aux heures sombres de l’ex-Zaïre du Maréchal-despote Mobutu Sese Seko. En effet, sous le régime ‘‘tyrannique’’ et ‘‘militaire’’ mobutiste qui a duré 32 ans, une autorité politique, gouvernementale et administrative disposait, en pratique, des attributions illimitées. Celle-ci bénéficiait de maintes casquettes qui échappaient évidemment au contrôle institutionnel. Elle s’improvisait aisément ‘‘policier’’ pour ‘‘appréhender les Citoyens’’ et, par conséquent, ‘‘piétiner leurs droits fondamentaux’’ et ‘‘confisquer leurs libertés inaliénables et sacrées’’.
Sous la présidence mobutienne, d’ailleurs, marquée du sceau de l’impénitence, une autorité fondée sur l’arbitraire répressif ou l’oppression jouait, surtout, le rôle de ‘‘gardien de prison privée’’. Celle-ci était emménagée dans sa propre résidence. Ce contexte de violation criante du droit et de la loi de l’État la poussait à séquestrer dans son domicile transformé en ‘‘centre d’enfermement pénitentiaire’’ ou mirador tout individu jugé hostile à ses intérêts mesquins. Aussi pouvait-elle jouer le rôle du juge pour infliger des amendes indues dans le dessein d’extorquer des biens appartenant à des Citoyens sans défense.
Ce comportement décrié de Jean-Marc Kabund a Kabund qui consiste visiblement à faire justice en lieu et place des autorités publiques légalement constituées ou établies, relève-t-il, à vrai dire, du simple opportunisme politique ? Son attitude, d’ailleurs, contestable et répréhensible est-elle plutôt dictée sur le terrain national par une stratégie de positionnement ? S’inscrit-elle forcément et logiquement dans un calcul purement stratégique ?
Ce qui est clair, cette attitude confuse de Jean-Marc Kabund a Kabund qui consiste à s’improviser autorité policière chargée de réglementer – [sans habilitation légale et réglementaire] – la circulation routière, porte réellement atteinte à la dignité de la fonction de député. Cela est d’autant plus vrai que l’intéressé n’est pas un agent de police. Sa mission n’est pas officiellement de faire respecter la loi. Son rôle consiste, plutôt, à adopter les lois pour préserver l’intérêt général et assurer la sécurité collective. Par sa stature politique, il représente physiquement l’État et la Nation. Il en incarne même la volonté suprême du fait d’être législateur.
À cet effet, Jean-Marc Kabund a Kabund n’est pas, par définition, un auxiliaire de l’État. Il ne peut ni se considérer ainsi ni se mettre délibérément dans cette position. Le fait d’entretenir par son comportement cette ambiguïté et d’interpréter mal à propos sa fonction et sa tâche entraîne qu’il enfreint consciemment la loi de l’État. À ce titre, il est totalement indigne de représenter l’État et, par ricochet, la Nation.
Cependant, en s’improvisant réellement ‘‘police militaire’’ dans le but de neutraliser et, surtout, de désarmer un membre de la garde présidentielle, Jean-Marc Kabund a Kabund a littéralement, quel que soit le grief lui reproché, porté atteinte à la sûreté de l’État. En effet, la mission d’un député n’est pas d’appréhender les militaires des Forces armées nationales. En cas de comportement jugé indélicat de la part d’un soldat, lequel est susceptible de porter atteinte à la sécurité du public, le rôle d’un député, à plus forte raison de tout citoyen, est de signaler les faits incriminants à la police militaire pour se charger rapidement du contrevenant ou délinquant. Or, Kabund a Kabund a bel et bien ordonné à sa garde rapprochée – a fortiori des éléments armés de la police nationale – de se saisir de l’arme de fonction, d’ailleurs, utilisée par le garde présidentiel. Son geste constitue, dans les circonstances, ‘‘une infraction évidemment passible des juridictions de l’ordre militaire’’.
Sans compter que cet incident somme toute malheureux aurait pu déclencher une ‘‘conflagration armée’’ entre deux corps de l’État disposant matériellement des armes létales dans le cadre de leurs fonctions respectives. À savoir : la ‘‘Police nationale’’ et la ‘‘Garde républicaine’’. À supposer qu’il y ait eu pratiquement échange des coups de feu entre les policiers commis à la protection de Kabund et le garde républicain, lequel est suivi de mort d’homme, un tel événement pouvait provoquer une insurrection armée. Dans cette hypothèse, sa responsabilité à la fois ‘‘politique’’, ‘‘administrative’’, ‘‘pénale’’ et ‘‘civile’’ serait immédiatement, automatiquement, mise en cause pour avoir outrepassé ses fonctions nationales de député et s’être improvisé agent de police routière.
Dans les circonstances, le comportement manifestement déplacé de Jean-Marc Kabund a Kabund aurait sans l’ombre d’un doute compromis la sécurité de l’État. Son attitude irresponsable aurait pu déclencher une émeute ou insurrection armée. S’il avait vraiment mal tourné, ce scénario aurait pu provoquer une guerre civile dans le pays. Dans ces conditions, qui pouvait éteindre le brasier conflictuel une fois allumé ? Sans compter que ce pire scénario résultant de son irresponsabilité aurait effectivement en cas de désastre national déboucher directement sur un pronunciamiento ou coup d’État militaire. Alors, face à cette attitude qui a failli compromettre la sûreté de l’État et, surtout, la sécurité des Citoyens, [pour qui] roule-t-il véritablement Jean-Marc Kabund a Kabund ?
Au vu et au su des faits, il appartient alors à Jean-Marc Kabund a Kabund de tirer toutes les leçons politiques qui s’imposent. Il lui revient naturellement de tirer toutes les conséquences politiques de son acte dans la mesure où il s’est comporté en véritable ennemi de la République démocratique du Congo.
Joël Asher Lévy-Cohen
Journaliste indépendant
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[i] Jean-Marc Kabund a Kabund est, en fait, le tout dernier secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) directement nommé de son vivant par le président national Étienne Tshisekedi wa Mulumba. Il se voit attribuer ce poste stratégique en raison de sa vaillance et de sa militance combattante.
[ii] Un citoyen qui se fait soi-même justice, ou qui rend sans être légalement habilité justice au nom de la société, s’inscrit définitivement dans la vengeance privée.
[iii] Un Représentant de la loi et de l’ordre est un auxiliaire de l’État, un préposé de l’État.